L’Atrium

L’atrium c’est le lieu de rencontre, de discussion avant de pénétrer dans la maison.

Sur ce blog, c’est un lieu de dialogue, simplement pour échanger des idées, évoquer les années passées au lycée…

L’atrium c’était la partie de la maison ouverte aux hôtes, aux clients et aux visiteurs. Selon une théorie admise par la plupart des historiens, l’atrium était dans la Rome primitive une cour entourée de bâtiments, précédant la pièce d’habitation du maître de maison.
Source : Wikipédia

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70 Responses

  1. 1 curtet jeanine
    19 déc 2013

    Pour répondre a cette personne qui demandait si nous avions connu des personnalités;je peux parler d’une élève dotdontje ne me rappelle pas le nom qui est devenue la première professeur de chinois de France.Nous avions commencé le chinois en classe de philo.Ce prof était l’amie de Mme Framery.je me souviens moi aussi de cette merveilleuse bibliothèque ou j’ai lu tout Pirandello.Comme il n’y avait pas de salle fermée les éleves revenaient violets Mme Framery disait »On dit que la gymnastique fait du bien … »Ce qu’écrit Jean Louis Cottin me touche beaucoup .Moi aussi j’ai eu une enfance pas très heureuse J’ai eu une dépression avec cure du sommeil a 10 ans et Montgeron a guérit mes blessures.Tout d’abord les cours de français Ce prof voulait qu’un camarade et moi(je l’ai reconnu sur ma photo 6o.61)on écrive un livre sur notre enfance.En vacances j’étais très heureuse chez mes grands parents prés de Nantua et je trouve qu’on écrit bien sur les jours heureux. Ensuite avec le prof français latin Marquet Il était très « cool » et ensuite celle qui a donné une direction spirituelle a ma vie Mme Framery.Les grands nostalgiques que nous sommes ont auréolé ces moments si précieux à bientôt et bonnes fêtes jeanine

  2. 2 Michel-Paul
    18 déc 2013

    Merci Pour ce commentaire sur ce site endormi.
    Je suis très heureux de voir de temps à autre un bout de mémoire venir s’agréger à ce petit groupe.
    Peut être un réveil en 2014…

  3. 3 curtet jeanine
    18 déc 2013

    Chers ex élèves En cherchant le site de mon cher lycée j’ai vu combien vous l’avez aimé. J’ai vecu presque 50 ans pres de Florence mais je suis contente d’être revenue dans mon pays.j’ai été dans la classe du professeur de lettre Marchet et en philo ma chère Mme Framery .Elle m’a tant appris J’ai tant apprécié Alain , Platon ,l’ouverture vers l’hindouisme t le Boudhisme Elle nous avait fait installer les chaises en emphitheatre et c’était nous qui exposions le sujet.Et comment exprimer la chance que nous avons eu d’étudier dans un parc magnifique. La salle de philo et la bibliothèque était entouree d’arbres.l’ambiance était si élevée qu’une fois elle nous avait dit « vous avez des auras toutes lumineuses »bien sûr ensuite nous retombions dans notre état normal.J’ai 3photos des années 60 que je vais envoyer au site. Vila a bientôt jeanine

  4. 4 DOMINIQUE DESMOIRES
    05 juin 2012

    Bonjour,
    Je tombe sur ce site qui m’a surpris agréablement en recherchant un ancien élève Patrick Mérer dont j’ai retrouvé la carte de liberté dans de vieilles affaires; je veux lui renvoyer, je ne sais pas pourquoi je l’avais; je ne trouve aucune coordonnées de lui. J’étais pion de 1964 à 1967 au Moyen Collège et j’ai de beaux souvenirs de ce Lycée si différent. Dans le site je me rappelle de certains noms comme les sœurs Testanière, Geneviève Pastre avec laquelle j’ai fait du mime dans la région et qui m’a corrigé quelques années plus tard un mémoire, Pierre Lemer avec lequel j’ai travaillé. Sans doute d’autres dont je ne souviens pas forcément. Je vois de temps en temps lorsque je vais à Paris Gigi Akoka et son frère Philippe dont je suis proche de la famille. Le revue STOP j’y ai fait des articles, il faut dire qu’avec Pierre Barret, prof d’arts plastiques qui a aidé à relancer la revue, cela rajoutait un peu de professionnalisme. Voilà cette bonne idée d’avoir fait un blog; j’ai mis sur copains d’avant, à mon nom, une photo de l’équipe pédagogique de l’année 1966. Peut être vais je retrouver d’anciennes photos que j’ai prises mais après plusieurs déménagements, un incendie….je ne suis pas sûr de les retrouver!!! A bientôt

  5. 5 Daniel V.
    03 mar 2011

    Eh bien, je suis heureux de voir que, 23 ans après que je l’aie quitté, le lycée continuait d’enrichir l’existence… et les souvenirs.
    Merci pour ton témoignage, Jean-Louis.
    Les hasards de la vie te feront peut-être revoir des amis: j’ai attendu 40 ans pour que cela m’arrive.
    Ou t’en apporteront d’autres, comme j’en ai eu le plaisir… grâce à ce site (merci Michel-Paul).
    Amicalement.

  6. 6 Jean-Louis Cottin
    27 fév 2011

    Je m’appelle jean-louis Cottin. J’ai passé quatre ans au lycée de Montgeron et j’ai eu mon bac en 1989. Les plus belles années de ma vie. Je regrettes que l’entrée soit filtrée maintenant car j’aimerais bien me balader dans le parc, pour me rappeler. Mme Picornel, M. Blanchard, le directeur Chiarodo. La philo et les math……
    Des années intenses d’autan plus que j’étais en foyer DDASS, tentative de suicide un an avant mon arrivée. Je suis devenu beau…..sans mauvaise pensée et je me suis épanouis. La cantine, le journal de poésie que je faisais avec trois amis et qu’on distribuait plus ou moins avec l’accord de l’administration, au départ.
    Ce parc, magnifique, mes réflexions, en fumant……..Dire cela paraît impossible. C’était grand !!!
    La litérature, bien sûr….quel bon temps.

    amicalement jean-louis
    regrettant de n’avoir quasiment plus aucuns contacts avec personne

  7. 7 Daniel V.
    11 oct 2010

    Comme Françoise, petit coucou à tout le monde…

  8. 8 françoise ruban
    07 oct 2010

    http://www.jacquielawson.com/preview.asp?cont=1&hdn=11&pv=3133187&path=83562

    Une pensée à tous mes amis du lycée de Montgeron

  9. 9 Bruno SENTENAC-ROZENCWAJG
    28 nov 2009

    Cher Daniel,

    Merci pour ces mots aimables et pour le conseil: je suis allé m’inscrire sur copainsdavant, mais j’ai eu beau y passer un moment, je n’ai pas trouvé de photo où je figurerais.
    Je poursuivrai mes recherches quand je rentrerai en France, dans peu de temps.

    Amitiés.

  10. 10 Daniel V.
    27 nov 2009

    Cher Bruno,

    peut-être pourrais-tu voir sur le site copainsdavant, où figurent sauf erreur pour l’instant 639 photos de classe du lycée.

    Si tu n’es pas inscrit, le faire est facile et permet de naviguer dans les photos. Que tu peux copier bien sûr.

    Il tu suffira d’entrer une recherche… que même un garçon comme moi, qui a raté son bac, a réussie (on a des petites joie, comme ça, dans la vie… ).

    Bonne chance. Et merci pour tes souvenirs.

    ps: J’ai fait une photo numérique de la démolition du réfectoire (en souvenir de la Salle de Liège !).
    Il faudrait que je trie ma collection et te la fasse parvenir…. sauf si c’est trop douloureux…
    Au besoin, je demanderai à mon ami Michel-Paul Bourdin comment la placer sur ce site.
    Amicalement.

  11. 11 Bruno SENTENAC-ROZENCWAJG
    14 nov 2009

    Le lycée de Montgeron, c’est toute mon enfance. Non seulement j’y ai fait les études, de la 6ème à la terminale, mais j’y ai vécu, habité, parce que ma mère, secrétaire à l’intendance, y avait un logement de fonction. Disons que j’y suis arrivé alors que je marchais à peine, et que j’en suis parti pour le service militaire (pour marcher au pas…).
    En lisant les témoignages, j’ai retrouvé des noms: Mlle Corteggiani, ma prof de français-latin-grec, une sacrée bonne femme, si on veut bien me pardonner l’expression. C’est un souvenir de l’Anabase, de Xénophon, qu’elle nous faisait traduire, qui m’a amené à donner le prénom de Cyrus à l’un de mes fils. Comme quoi, les souvenirs…
    Il y en a d’autres qui m’ont beaucoup marqué: Mme Berleur, M. Faivre, M. et Mme Heyraud, M. et Mme Chancelier, …
    Bien sur, j’ai eu des profs de maths et de physique dont le seul souvenir me cause encore des maux d’estomac. A l’époque, ils ont sans doute cru sincèrement que le semi-débile que j’étais aurait du mal à survivre dans une société exigeante. J’ai juste fait ce qu’on appelle communément une grande école… Il faut avoir confiance, faire confiance, ne pas travailler que pour les 3 meilleurs de la classe, et ne pas fiche une trouille monstre à toute sa classe…
    J’ai aussi eu une prof de musique qui a tout fait pour me dégoûter de la musique classique et qui n’y est pas arrivée, la pauvre.
    Mais je laisse là les (quelques) mauvais souvenirs, et je préfère me rappeler l’excellence de certains profs.
    Lorsque j’ai commencé l’anglais en 6ème, ma prof était Mme Heyraud. Elle a passé un temps fou à nous enseigner l’alphabet phonétique. Bon, je ne dirais pas que c’était la joie tous les jours, mais… aujourd’hui, après avoir bourlingué dans pas mal d’endroits (Jamaïque, Cameroun, Burundi,…), je travaille dans un pays passablement agité (prenez ce qu’il y a de plus agité aujourd’hui: c’est là) avec des Américains et des Anglais. Et … j’utilise tous les jours l’alphabet phonétique que m’avait enseigné Mme Heyraud (lorsque je ne connais pas un mot, je regarde dans le dictionnaire, et je sais comment il se prononce). J’ai toujours essayé de rester fidèle à l’accent qu’elle mettait sur la prononciation. Voilà, c’est ça, un excellent prof: 40 ans après, les leçons restent.
    Ma fille aînée n’a jamais eu droit à ce type de cours. Quand elle a appris l’anglais, c’était de l’anglais purement écrit, et elle le parle comme, disons, notre omni-président. Les progrès de l’enseignement ne sont pas linéaires, c’est le moins qu’on puisse dire.
    Quant à Mlle Corteggiani, elle avait sorti du Faust de Goethe un passage (« la lettre, je l’ai écritE ») qui a fait que, toute ma vie, j’ai réussi à conjuguer l’accord du participe passé (vous savez, le truc que plus personne ne respecte, même dans le Monde…). Chapeau ! Ca, c’est de la pédagogie !

    Le lycée, j’aimerais bien le visiter, lors d’un de mes retours réguliers en France, si j’échappe aux méchants barbus. Si le proviseur pouvait m’y autoriser… Je sais que ça me fera un peu mal, car des bâtiments ont disparu (celui des cuisines, notamment, où j’habitais), ainsi que pas mal d’arbres, mais tant pis. Il reste le chateau, le bâtiment des sciences, les douves, la grande pelouse, non ?
    Et si quelqu’un a une photo de la classe de 6ème de Mme Heyraud (en 1972, je crois…), ben, je suis preneur d’une copie. Je l’ai vue, cette photo, et JE ME SUIS VU (bon sang, quel choc !), lors de l’exposition sur le lycée qui s’est tenue au Centre culturel de Montgeron, en mars dernier. Mais je n’ai pas réussi à savoir qui l’avait prêtée.
    Ca me ferait bien plaisir.
    Merci d’avance.

  12. 12 Michel-Paul
    30 oct 2009

    Ca y est !

    Votre site a eu droit à une cure d’amaigrissement
    pour le débarrasser de sa mauvaise graisse
    celle qui s’était accumulée insidieusement
    nourrie par des textes un peu hors propos,
    puis des textes de gout douteux, puis grivois, puis agressifs puis insultants…
    Ils ont disparus d’ici…
    et l’atmosphère comme la lumière de Montgeron sont de retour, et promis il n’y en aura plus d’autres : ils seront éliminés dès leur arrivée…

    Alors, venez vérifier l’évolution (lente…), de votre site, venez y déposer votre contribution. C’est facile, et c’est vous qui détenez la Mémoire de l’aventure.

    Merci pour votre future contribution et n’hésitez pas à me faire part de vos remarques, soit par le blog, ou en passant par l’onglet « CONTACT » sur le bandeau du haut de page si vous les souhaitez plus confidentielles…

    Avec toute mon amitié

    Michel-Paul

  13. 13 Michel-Paul
    26 oct 2009

    Mémoires Vives

    Hier un changement de version du programme a un peu bouleversé l’organisation des articles et demandé un gros travail de restructuration de ce blog qui se voulait consacré à la mémoire de l’expérience pédagogique du lycée de Montgeron…
    Et je « reclasse » les messages, parfois inconvenants, déshonorants pour leur auteur…
    C’est du temps que je ne peux consacrer à autre chose…
    Nouveau reclassement aujourd’hui, et apparition d’une rubrique consacrée à ces poèmes qui fleurissent depuis l’automne.

    Bonne lecture, mais pensez à l’âme de ce site, à sa vocation initiale, la mémoire de Montgeron… qui attend vos témoignages…

    Amitiés

  14. 14 Aigle Moqueur
    18 oct 2009

    Certes.

  15. 15 Michel-Paul
    18 oct 2009

    Daniel,

    Te voila bien dur !
    Je n’ai pour ma part pas perçu de mépris envers les poèmes livrés par Françoise, juste peut être un fond d’air de jalousie, quant à l’ignorance, n’est elle pas que passivité ?
    Il y a sans doute ceux, imperméables, sur lesquels les mots glissent. Et puis il y a tous les autres, qui y ont trouvé quelques résonances, quelques plaisirs, quelques émotions, qui ont aimé et sont restés silencieux… (et il y en a des silencieux sur le site !),
    Alors je me demande, si je ne vais pas ouvrir un « Coin des Poètes’ pour ceux qui veulent ainsi partager, échanger leurs émotions.

    Qu’en pensez vous ?

  16. 16 Blague Saine (alias Cygnus atratus)
    06 sept 2009

    Hé! hé!Je me répéte…

  17. 17 Françoise Ruban
    06 sept 2009

    Oh!oh!

  18. 18 Clack Twain (alias Cygnus atratus)
    06 sept 2009

    Coucou,Aigle Moqueur,
    Je vous ai compris!

  19. 19 Françoise Ruban
    06 sept 2009

    Je vois que l’on s’amuse bien ici !
    Bravo pour le coup de balai d’automne!

  20. 20 Blaque Spain (alias Cygnus atratus)
    06 sept 2009

    Coucou,Aigle Moqueur,
    A clin d’oeil,clin d’oeil…Devine la suite!
    Je vous ai compris,disait le grand Tom!

  21. 21 Aigle Moqueur.
    06 sept 2009

    Faut pas prendre les enfants du Bon Dieu pour des hasards sauvages.

  22. 22 Aigle Moqueur
    16 juil 2009

    C’est l’été.

    Certains évoquent (rubrique « Stop’) Victor Hugo, puis les Fleurs du Mal…

    Alors, dédié à vous toutes et tous, que vous partiez en vacances ou non, voici un petit poème « maritime », que vous connaissez je le sais, de mon ami Charles Baudelaire.

    Mais c’est comme les glaces, à chaque fois un plaisir. Délectons-nous, et bon voyage.

    La vie Antérieure

    J’ai longtemps habité sous de vastes portiques
    Que les soleils marins teignaient de mille feux,
    Et que leurs grands piliers, droits et majestueux,
    Rendaient pareils, le soir, aux grottes basaltiques.

    Les houles, en roulant les images des cieux,
    Mêlaient d’une façon solennelle et mystique
    Les tout-puissants accords de leur riche musique
    Aux couleurs du couchant reflété par mes yeux.

    C’est là que j’ai vécu dans les voluptés calmes,
    Au milieu de l’azur, des vagues, des splendeurs
    Et des esclaves nus, tout imprégnés d’odeurs,

    Qui me rafraîchissaient le front avec des palmes,
    Et dont l’unique soin était d’approfondir
    Le secret douloureux qui me faisait languir.

  23. 23 Sitting Bulle
    24 juin 2009

    Bonjour.

    Je voulais juste vous souhaiter, à toutes et tous, de très bonnes vacances, que vous partiez ou non…

    Ne vous inquiétez pas du calme apparent de ce site, nous savons que nous avons tous beaucoup à faire, mais aussi que nous pourrons, lorsque cela sera évident ou utile, ranimer la flamme.

    Je regrette pour ma part de n’avoir pu à temps boucler un article prévu pour le Stop hors série. Les pièces détachées sont là, peut-être les assemblerais-je pour ce forum, … si tant est que mes propos soient intéressants…

    Bonnes vacances !

    « Allez, répandez-vous en cohortes joyeuses » !

    (Vous avez bien compté: douze pieds…)

    Daniel

  24. 24 Michel-Paul
    15 mai 2009

    Mon cher DéVé, dit Aigle Moqueur,

    « Ils » s’occupent de la courbure de bananes ou de concombres, mais puis-je te rappeler que dans les années 50, au Bureau de Normalisation, « Il » avait très sérieusement pondu une norme sur l’écartement des barreaux des cages à mouches (tu sais les cages faites de 2 rondelles de bouchon sur lesquelles sont fichées – et l’exercice est délicat pour respecter à la fois l’écartement constant et le parallélisme – des épingles de couturière : les barreaux).

    « Il » c’était Boris Vian… (mais tu le savais déjà).

    Tu ne vas tout de même pas critiquer ces esprits libres et poètes qui inventent des futurs rassurants : que démontrent ils ainsi, d’après toi ?

    Normativement.
    Michel-Paul

    PS As tu remarqué que tous les textes apparaissent maintenant et automatiquement « justifiés » dans la mise en page : c’est à la fois le résultat de mes progrès techniques sur l’outil et de l’adoption d’une nouvelle norme de mise en page…

  25. 25 Aigle Moqueur
    15 mai 2009

    Je lance, sérieusement, une bouteille à la mer.
    Ayant depuis le lycée ( grâce à Maurice Rouable ) de l’intérêt pour les deux pôles, je suis à la recherche depuis de nombreuses années de vraies CARTES DÉTAILLÉES ( pas pour touristes ni marcheurs des pôles qui évitent soigneusement le pôle nord ) ET DE PHOTOS non moins détaillées ( PAS retouchées genre satellite de la Nasa ).
    Je me suis adressé à l’IGN, ai écumé le National Geographic, les livres (PEV etc), le net bien sûr, cherché des cartes aériennes (malgré la navigation par satellite, les jets font un grand détour), scruté des photos de la Nasa ( toutes retouchées ), etc.
    La réponse la plus dilatoire, grand prix de l’HHHHumour, me fut administrée aux Expéditions Polaires Françaises, rue La Boétie, où je me suis rendu, pensaient pouvoir en acheter:
     » Ah non, il n’en existe pas !…  »
    Un peu comme si un contrôleur aérien vous demandait, les yeux écarquillés, ce qu’est un radar…
    Coluche au secours.
    J’ai ma petite idée, mais ne veux pas mourir parano. – Bien que la parano soit au fond, comme disait Jean Sandy, un « délire logique »…
    Alors voilà, si quelqu’un a une idée, merci, je prends.
    Et (rêvons), si quelqu’un s’y intéresse aussi, alors là… restaurant!
    Merci. Vous pouvez reprendre une activité « normale ».
    ps: quand on voit comment « ils » débattent de l’usage du tabac sur les bancs publics, du camembert au lait cru, du rosé coupé, et de la courbure des concombres (15 jours en séance rien que pour ça, sans rire!!!), de celle des bananes (oui, je suis comme vous, où vont-ils s’arrêter, dans ce domaine ?…) je mesure le peu d’intérêt des contours -véritables- de la Mer de Wedell. Allez, au dodo.

  26. 26 Françoise Ruban (Thabourin)
    06 mai 2009

    Merci à Daniel Villeret pour les infos sur Nanouk l’Esquimau.J’ai bien envie de me replonger dans l’ambiance de ce très beau film.Jamais je ne l’ai revu,depuis le lycée!Je te dirai si je l’ai trouvé et ce que j’ai ressenti en le regardant après de si longues années.

  27. 27 Daniel V.
    06 mai 2009

    …ça me rappelle un critique de Théâtre au XIX ème siècle qui, devant « noter » un four, avait juste écrit:

    « Venez armé, l’endroit est désert… »

  28. 28 Michel-Paul
    05 mai 2009

    Mon cher Pégipé,

    Tu devrais tout de même savoir que le « mouton », c’était pas dans l’esprit Montgeron.
    Mais je vais faire un effort : avec Wikipédia, tu sais, ton grand référentiel, je vais trouver kek choz!
    Oh et puis non, je vais plagier dans le mouton enragé, façon génie dérapage (ou dézalpages, j’ai un doute) :

    genie
    .
    .
    .
    .
    .
    .
    .
    .
    .
    .

    Broutes bien !

    Michel-Paul

  29. 29 Daniel V.
    17 avr 2009

    Je signale à Françoise Ruban que « Nanouk l’esquimau », de Robert Flaherty, figure dans un coffret de DVD des Editions Montparnasse, qui comprend:

    DVD 1
    « Nanouk l’esquimau » (1922 – 64 mn. N&B Version de l’International Film Seminar)
    « Flaherty and film » , entretien avec Frances Flaherty, épouse et collaboratrice (8 mn. 1958 Vostf N&B)
    « Filmer pour voir – Flaherty et la mise en scène documentaire » par Gilles Delavaud et Pierre Baudry (40 mn. 1994 N&B)

    DVD 2
    « L’homme d’Aran » (1934 – Vostf 73 mn. N&B)
    « Looking back ». R. Flaherty revient sur l’Homme d’Aran (5 mn. Vostf Couleur)
    « Flaherty and film ». Entretien avec rances Flaherty sur l’Homme d’Aran (28 mn. 1958 Vostf N&b)

    DVD 3
    « The Land » (1942 – 41 mn. VF N&B)
    « Louisiana Story » (1948 81 mn. Vostf N&B. Version de l’international Films Seminars)
    « Flaherty and film » (1968 28 mn. Vostf N&B )

    A la Fnac on ne trouve que la zône 1, illisible ici, et les VostF semblent ne pas figurer…

    On peut commander directement sur le site des Editions Montparnasse
    45 euros, port compris…
    http://www.editionsmontparnasse.fr
    Newsletter des éditions sur demande.

    (1000 fois moins cher qu’une montre de président…)

  30. 30 Daniel V.
    08 avr 2009

    Lacan rapporte aussi que Freud, sur le pont du bateau qui le conduit, pour la première fois à New York, en vue de la Statue de la liberté, a glissé à Jung:

     » Ils ne savent pas que nous leur apportons la peste « …

  31. 31 Daniel V.
    03 avr 2009

    Et je termine:

    David Rockefeller déclarait dans le même temps:

     » Nous arrivons vers l’émergence d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c’est de la CRISE MAJEURE, et le peuple acceptera le Nouvel Ordre Mondial « .

    Est-ce que je n’ai pas entendu hurler récemment que NOUS SOMMES dans la crise LA PLUS GRAVE, c’est à dire LA CRISE MAJEURE, de l’époque moderne ??? MMMmmmmmmm?

    Installez-vous, éteignez vos portables, ouvrez les yeux, le spectacle va commencer.

    Voilà. Pas pour faire de la politique, juste pour exercer cet esprit libre, curieux, si possible lucide, et pourquoi pas impertinent, appris où vous savez…

  32. 32 Daniel V.
    03 avr 2009

    J’ajoute: Warburg, un nom objet d’admiration pour Attali, qui lui a consacré un volumineux bouquin il y a quelques années…

  33. 33 Jean-Claude BONNIN
    26 mar 2009

    1) M. Weiler à la Roseraie, nous a appris a éplucher les pommes de terre en robe des champs. Je me demande si on apprend encore le savoir-vivre.
    2) M. Weiler à la Roseraie, nous faisait goûter le vin. Ceci pour nous former le palais. Etais-je en sixième, en cinquième ou en quatrième ?
    Imaginez-vous, aujourd’hui, ce genre d’apprentissage ?
    3) Sacré Monsieur Morel. Il y avait un garçon – Georges, si je me souviens bien de son prénom – qui, en début d’année affichait une surcharge pondérale importante. Pendant toute l’année scolaire, M. Morel a entrainé son patapouf suivant un parcours immuable : descente de l’allée Paul Langevin (assasiné par les allemands – le factotum avait oublié un « S » -), passage devant le bassin et remontée par les bosquets. Et à la fin de l’année, Georges était devenu un de ces balèzes avec qui il fallait compter.
    4)Il faudra que je vous parle des bosquets…

  34. 34 Jean-Michel TREFAULT
    26 mar 2009

    Salut a toutes et tous,

    Je ne suis arrivé malheureusement de ma Belle Province que le 24….
    Mais j ai vu l ‘album… ça donne des regrets….de ne pas avoir été là et comme pas mal , de la colère suite au chantier d ‘aprés ce que
    j en ai aperçu.Moi je sui de la periode 67-73… y avait il des
    « Kamarades » ? Avez vous fait une liste des présents? Car , 35 ans ou plus aprés…. on a changé… non?
    Bravo encore à ceux qui ont fait vivre cette journée et font vivre ce site

    Amitiés

  35. 35 Daniel CHAFFANJON
    20 mar 2009

    Après avoir parcouru les boîtes à souvenirs de ce précieux site, je puis apporter, modestement, deux précisions:
    1) Le surveillant général du Grand Collège, surnommé « Bifteck » (ortographe selon le goût de chacun), s’appelait Monteillet.
    2) Le vénérable prof de gym, en pantalon de golf et en cyclomoteur Peugeot, un certain Mr Morel, était surnommé « Loulou ». Il arrivait souvent que quelques potaches le suivent en fredonnant « Loulou, loulou… » sur un air de jazz célèbre.

  36. 36 Michel-Paul
    19 mar 2009

    Cher Paul-Jean : Non , je ne suis pas resté  Fidel… Mais ton R  est ratiboisé par ton pote Villeret
    et il ne te reste plus que
    M comme Ma
    P comme Prose
    Qui tarde bien a venir…

  37. 37 Michel-Paul
    19 mar 2009

    Cher Paul-Jean,

    Nous voici à deux jours de la grande rencontre et je ne vois toujours
    pas la plus petite esquisse de texte de ta plume dans l’Abécédaire !
    attention dimanche il sera trop tard!
    Enfin pas vraiment trop tard, car l’Abécédaire
    continuera, mais il y aura les textes “d’avant” et les textes
    “d’après”…

    La lettre R de Rouable s’impatiente… ne la fait pas trop attendre, tu pourrais bien te faire doubler.

    Amitiés

    Michel-Paul

    PS J’ai bien quelques cigares du genre Cohiba ou Roméo et Juliette,
    mais je ne suis pas sur que cela soit très bon pour ta santé !

  38. 38 Anne-Marie Bellini-Espéret
    26 fév 2009

    Bonjour à tous,
    Entrée en 1952 au Lycée de Montgeron, je n’y ai passé que deux ans mais ces deux années furent si riches que j’en ai toujours gardé la nostalgie (surtout lorsqu’il a fallu ensuite intégrer un lycée « classique »). L’environnement d’abord : ce grand parc où nous allions avec notre professeur de sciences naturelles à la découverte de la flore et de la faune et puis la cour de récréation bordée de bosquets dans lesquels nous avions le droit de construire des cabanes.
    L’une d’entre nous dans un commentaire précédent parle de la bibliothèque comme d’un endroit triste , pour moi ce fut une bibliothèque magnifique (sans doute la première que je connaissais) et j’y ai passé beaucoup de temps pendant l’interclasse de midi.Me reviennent en mémoire les pièces de théâtre que nous avions montées en interdisciplinarité : « le Roman de la Momie » en 6ème et « Emile et les détectives » en 5ème.Mais ce qui a été le plus important pour moi, et a durablement marqué ma vie, c’est l »atelier de céramique et si actuellement, à la retraite j’ai tant de bonheur à travailler la terre c’est à Montgeron que je le dois. J’aurais tant d’autres choses à dire. je regrette de ne pouvoir venir le 21 mars je suis sure que ce sera une journée formidable.
    Amitiés
    Anne-Marie

  39. 39 Michel-Paul
    26 fév 2009

    Si on supprime la première phrase, ton texte est superbe…
    Si on la laisse aussi, mais c’est tout de même dommage de commencer par des excuses quand on écrit aussi beau, avec une telle âme. En plus ceux qui comprendront tes excuses sont ceux qui ne comprendront pas ton texte…
    Amitiés

  40. 40 Daniel V.
    26 fév 2009

    Je mesure l’inanité de ce que je vais dire. Mais à la lecture de Françoise je le dis quand même.
    Que les esprits aboutis, trempés au feu de l’existence « réelle », qui ont tout compris et ne souffrent donc plus, passent rapidement, ils ont mieux à faire. Le Royaume d’Utopie, sans p.i.b, n’est pas coté.

    Il « faudrait » un moratoire.
    Pour les carreaux de Françoise, pour nos souvenirs, pour la chaîne de la transmission de la sensibilité de chacun. Car, si Shakespeare a raison en disant que  » La vie est faite de l’étoffe des songes « , pourquoi choisir toujours la grossièreté et la violence, le bruit et le nombre, les respirations courtes, du corps et de l’âme ?
    Parce que, sans doute, nous sommes encore dans « l’âge noir « , le Kali-Yuga des Indous ( pardon: les Indiens…)
    Parce que nous sommes dans le « Règne de la quantité » de Guénon, soumis aux « Signes des Temps »
    Parce que nous sommes dans l’accumulation, chère à ce grand peintre  » moderne  » (je vais m’attirer des foudres).
    Parce que la peur, maladie numéro un sur cette Terre, nous pousse toujours plus loin, plus vite ( » Hop! Hop! crie Méphisto, dans sa chevauchée folle avec Faust – mais écoutez-donc Berlioz !).
    Alors je sais bien. Nous ne l’aurons pas, ce moratoire.
    Nos souvenirs seront estompés; quelques-uns resterons, en témoignage déformé.
    Mais dites-moi: pourquoi venez-vous le 21 ?

  41. 41 Françoise LE JEANNIC (VEZINET)
    25 fév 2009

    Je vais partir en Provence du 23 février au 16 mars. Alors, le 21… mais peut-être n’est-ce- qu’une excuse pour garder mes souvenirs intacts.
    Je ne suis pas allée aux 50 ans du lycée. J’avais dit à Jacqueline que nous irions ensemble mais j’étais de service de week-end. Je n’ai pas trouvé à me faire remplacer. (Je travaillais au centre Jean Itard – A.C.A.I.S) comme éducatrice d’internat. Nous avons vécu 38 ans à Cherbourg. Peut- être que ce planning me soulageait !…
    Je suis retournée dans le lycée après, un jour où je passais devant, seule. La personne dans ‘la serrurerie’ m’a accordé une demi-heure. J’ai choisi d’aller revoir les écuries et le bassin. J’avais aperçu la piscine. Je savais donc que le verger n’existait plus et mon châtaignier y était… mais il restait un arbre auquel je tenais.
    Il était là, seul, comme épargné. A son pied, il y avait encore le trou et la pierre. Il m’a servi de boite aux lettres pour un amour de 4 ans, de 14 à 18 ans. Si tu le trouves, prends-le en photo. Il est entre le bassin et l’entrée du verger.
    Je te dirai ce que je pense du livre. Maman a souvent soigné les élèves. Elle aurait aimé être infirmière si elle avait pu aller à l’école mais son père, pourtant maire de Saleix avait décidé qu’iraient à l’école les garçons et la dernière des filles. Elle était l’avant dernière…

    Je sais bien qu’il y a eu des raisons pour la grille et aussi pour la destruction de la maison, que la cloche doit faire joli quelque part ainsi que les jolis carreaux de faïence à motifs bleus, anciens, qui ornaient le grand évier de la cuisine. Il doit aussi être quelque part. La cuisine était petite.
    Nous déjeunions debout. Nous étions mal logés. La loge s’est longtemps prise dans notre salle à manger. J’ai été bercée par le téléphone… mais il y avait le parc… Parfois, Maman nous disait : on pourrait partir… à Cahors ? Il y a une place cette année. On irait plus souvent à Reilhaguet… ou à Biarritz ? C’est possible aussi… ou à Paris ? Nous aurions un appartement moderne, avec une salle de bain et des toilettes intérieures rien qu’à nous ! Mais, devant nos airs consternés, elle disait : on verra l’année prochaine.
    Merci de me proposer de photographier mon châtaignier mais il était au fond du verger, un peu sur la droite. Ils ont construit la piscine dessus.
    J’aimerais avoir la photo de mon arbre boite aux lettres et de la boite aux lettres… il existait encore comme épargné lorsque j’ai eu ma permission d’une demi-heure. Pourquoi ? Ou il a parlé… ou leur journée de destruction était terminée et ils n’ont plus eu le temps de le couper, ou ils l’ont laissé en déco !
    Lorsque tu arriveras en bas de l’allée des tilleuls, à l’angle droit des allées de ‘la piscine’ et du bassin, fais 3 ou 4 pas en diagonale. C’est lui. Il est seul et à son pied, il doit y avoir un trou avec une pierre dessus, c’est elle. Merci…
    Si tu vas par l’allée de la droite, il y a un petit chemin qui mène aux écuries. Existent-elles encore ? Si tu vois une petite échelle en fer, c’est la mienne. Je la hissais dans l’arbre une fois le tronc lisse escaladé et, de là haut, personne ne me voyait et je voyais tout le monde !
    Les deux bosquets de lilas mauves sur la pelouse, ont-ils été préservés ? Et les ruches de Jean Weiler devant le petit bois y sont-elles encore ?
    Si tu vas vers le bâtiment technique, peux-tu me dire si le pigeonnier est encore joli ? On y a beaucoup joué. Il manquait quelques barreaux à l’échelle mais elle tournait bien. A-t-on pensé à réparer l’échelle et à y remettre des pigeons ? Car sinon comme le dit si bien Nolwenn, ma petite fille qui vient d’avoir 3 ans, lorsque la châtelaine reviendra, elle ne sera pas contente. Pas contente, pas contente du tout…
    Elle ne sera pas contente d’arriver devant la barrière automatique, pas contente de voir l’absence de la maison. Pas contente de voir les ronces envahir la serrurerie… Il existe pourtant encore des ferronniers d’Art qui auraient pu arranger la grille ou la refaire à l’identique et des architectes pour rénover les deux maisons symétriques avant d’en détruire une… Il n’y a plus qu’à la refaire, qu’à retrouver l’évier, les jolis carreaux et la cloche qui n’appartenait qu’au château car sinon lorsque la châtelaine reviendra, elle ne sera pas contente, pas contente, pas contente du tout !

  42. 42 Daniel V.
    22 fév 2009

    Pour Evelyne Bérard, en remarque à l’Abécédaire:

    L’Oiseau Bleu, très beau conte de Maetelinck, est, sans doute le sais-tu, à visée ésotérique.

    Walter Lang en a tiré un joli film avec Shirley Temple ( Blue Bird, 19/1/1940, 88 mn, Technicolor ), prévu à l’origine pour concurrencer le Magicien d’Oz (ce qui échoua ). Je tiens la cassette à ta disposition, si tu le souhaites ( en français ).
    Daniel

  43. 43 Jose Sorolla surnommé "pépito"
    20 fév 2009

    félicitations à tous ceux qui ont bossé sur ce site .Pour nous tous ce lycée a marqué notre jeunesse où l’on bascule de l’enfance à l’age adulte.Cette heureuse transition a été remarquable car nous y avons appris : le travail , l’amitié , la tolérance et ….les connaissances! Perpétuons ce souvenir mais avec modestie car chaque génération à été marquée par l’adolescence .Les souvenirs sont nombreux :il suffit de lire les blogs.Je soumets à votre mémoire un souvenir qui ne relève pas de l’enseignement et qui montre que ce lycée était avant gardiste.J’avais toujours mangé les oranges en les pelant et en dégustant les quartiers. Au réfectoire on nous les servait coupées en fines lamelles horizontales et on mangeait la peau avec ; beuk!! on a appris ainsi à bouffer de la vit.C ; mais c’est vrai qu’à lépoque elles n’étaient pas traitées .
    je ne pourrai pas être présent le 21-03 ; une autre fois ; il nous reste encore bcp d’années devant nous !!!! amitiés à vous tous

  44. 44 Daniel V.
    20 fév 2009

    Je sais. Un E en trop.
    Et je n’en suis pas fier.
    ça me met au niveau
    De mon cher  » adversaire « …

  45. 45 Daniel V.
    20 fév 2009

    Cher Paul-Jean, je les prends,
    Tes vers, pour ce qu’ils valent.
    Ils ne sont pas méchants,
    Mais ils sont bien bancales…

  46. 46 Daniel V.
    19 fév 2009

    Merci Michel-Paul. Tu es le Mozart des explications. Clair, évident, donnant le frisson tellement c’est beau. Tes mots si choisis m’évoquent ceci sur Mozart enfant:

    On lui demandait comment il faisait pour composer, si jeune, de si belles mélodies.

    Il a répondu:  » Je mets ensemble les petites notes qui s’aiment « …

  47. 47 Michel-Paul
    19 fév 2009

    A Daniel
    Réponse stupide de quelqu’un qui ne s’est jamais déchiqueté un doigt en ouvrant son ordinateur…
    Le site est encore bien petit, mais après l’exposition du lycée, le Musée (totalement virtuel aujourd’hui puisqu’il est absolument vide), devrait progressivement se remplir de documents “généraux” sur le lycée.
    Faut il faire une étagère pour les “petites madeleines” ? je n’ai pas encore de réponse bien claire pour une étagère “collective” qui demanderait peut être beaucoup de travail de rangement (et puis les madeleines rancissent et il faut les renouveler…).
    Mais pourquoi pas une petite étagère pour chacun ? C’est déjà possible ! , comme tu ne l’as peut être pas déjà remarqué…
    Je m’explique :
    Tu as peut être constaté dans le blog, que le noms d’auteurs apparaissent parfois en caractère noirs, parfois en caractères verts. Si ils sont verts, ce n’est pas une écotaxe payée par le contributeur pour mettre en avant sa prose, mais signifie qu’en cliquant dessus on accède à d’autres mondes… une page perso, sa page Potesd’antan ou Fessebouc…
    Mais comment est ce possible ? tout bêtement, en renseignant lors de ta réponse la case “votre site” avec une adresse Web (http://….). Si l’adresse est correcte, un simple clic et hop… on y est : voila comment exposer tes œuvres…
    Alors pour publier tes belles photos-madeleines, il te suffit de passer par un service tel que zoomrama (j’aime bien), de construire ton album (avec commentaires et musique) et d’en copier le lien dans “votre site”. (télécharger le programme sur http://www.zoomorama.com)
    Daniel si tu le souhaites, on peut également, selon le même principe, diffuser des voix d’opéra… (si elles en valent le coup, mais on pourra voter… après avoir écouté).
    A ton micro (phone)!
    Amitiés argentiques ou numériques

  48. 48 Daniel V.
    19 fév 2009

    Question bête de quelqu’un qui sait mieux ouvrir une boite de conserve qu’un ordinateur:
    y a-t-il possibilité de permettre que ce site héberge nos photos-madeleines ? ***
    Sans doute est-ce un travail supplémentaire ( et bénévole )…
    Je vous l’ai dit: question bête. On ne se refait pas.

    *** Je sais, les deux termes se marient mal. Mais d’autres se sont interrogés sur ces mariages  » forcés « , à commencer par Sacha Guitry.

    Il arrivait, en train, en gare de Mâcon.
     » Mâcon… Mâcon… trois minutes d’arrêt « , lançait le préposé, longeant le train en même temps que son collègue qui, avec un marteau, vérifiait le bruit des roues.
     » Ma… con  » murmura Guitry…  » Bof, on dit bien … Sa… cha « .

    Véridique.

  49. 49 Henriette Rodary-Berge
    15 fév 2009

    Bonjour à tous!
    Je penserai à vous le 21 mars et regrette sincèrement de ne pas pouvoir y aller. Ça fait des années que j’espérais des réunions de classe à Montgeron. Un grand merci à tous ceux qui organisent ces rencontres. J’espère être parmi vous lors de la prochaine!
    Bien Amicalement de Napa, Californie

  50. 50 Claudine Soulié Lasserre
    15 fév 2009

    Je viens de terminer un bouquin de Didier Daeninckx : Camaradesdeclasse (Gallimard). Immersion dans les années 60/70 garantie pour tous ceux qui en auraient oublié quelques détails … mais peut aussi s’avérer une aide précieuse pour ranimer un souvenir et étoffer le Stop 2009 !!!
    Amitiés à tous

  51. 51 Daniel V.
    13 fév 2009

    Je vous vois tous venir…

    Mais dois-je vous rappeler que c’est trop tard, que  » LE  » film est déjà tourné , ET couvert de prix…

    Sauf à ce que le suivant (le  » notre « ) s’appelle:  » Hors les Murs « …
    Daniel

  52. 52 Michel-Paul
    11 fév 2009

    Daniel,

    Tu as tout à fait raison : ce texte de Françoise, très émouvant, est le prémisse d’un beau scénario de film sur sur ce Lycée.

    Et il y a de la matière entre la dimension sociale et politique, les couloirs de ministères, le soutien d’A. Weiler, qui mollit avec le temps…(premières victoires de la finance sur l’idéal), la crise du logement qui amène Mlle Jacquiot à réquisitionner des logements chez l’habitant à Montgeron pour héberger les enseignants (quelles relations avec les familles ?), ces équipes d’enseignants de la première heure, qui travaillent ensemble, convaincus, passionnés, offrant toute leur âme à pour l’éveil des consciences, organisent des activités éducatives après les heures de cours, accompagnent des voyages, explorent des méthodes nouvelles, fouillent dans les âmes de leurs élèves pour mieux les aider, et puis, bien sur, ces émerveillements d’enfants/adolescents découvrant la richesse de la connaissance qui leur est offerte par ces esprits ouverts. Ils apprennent la liberté et le respect, s’émerveillent de la découverte des secrets du parc et de ses buissons… y écrivent leurs contines d’amours naissantes et romantiques.

    Que de bonheurs !

    Merci Françoise pour cette belle esquisse du scénario d’un film d’humanité, d’éducation et de tendresse sur fond de parc.

    Michel-Paul

  53. 53 Daniel V.
    10 fév 2009

    Merci infiniment à Françoise Le Jeannic pour ces précieux souvenirs.
    Je ne connaissais pas le don du Château ni de la Pelouse par Madame De Lagrange. Son refus d’entrer parce que son allée des roses a disparu fournirait une entrée superbe, à un auteur voulant écrire le roman du Lycée…
    Je trouve que cela s’inscrit bien dans l’aventure générale de ce domaine, que cela ajoute à ce parfum de … romantisme ? poésie ? monde préservé ? dont étaient -à mon sens, mais on est imaginatif à 11 ans – imprégnés les hectares de bois, pelouses, douves… et bâtiments.
    Et puis : cette grille magnifique qui nous accueillait le matin.
    Qu’est-elle devenue???
    L’utilitarisme, sans doute incontournable, a gagné.
    Mais enfin, pour avoir côtoyé quelques artistes ” novateurs ” qui vendaient (vendent) cher, aux ministères, collectivités (à nous…), quelques barres métalliques tordues et rouillées de très gros calibre (des noms me viennent, je me tais), Oeuvres d’Art (travaux d’Hercule tendance Boronali) devant lesquels il fallait avoir ses vapeurs, je me dis que le numéro de Stop dont la couverture porte la photo de cette “simple” grille est une pièce de collection à conserver…
    Et qu’on ne m’objecte pas qu’il ne faut pas regarder en arrière.
    “Quand on ne sait pas d’où l’on vient, on ne sait pas où l’on va”.
    Daniel

  54. 54 Françoise LE JEANNIC (VEZINET)
    10 fév 2009

    Bonjour Michel-Paul,

    Est-il bon de retourner dans ses souvenirs ? De retourner dans les endroits que l’on a tant aimés ?

    Je me souviens de Mme De Lagrange. J’avais 10 ans. Une voiture noire devant la grille. Sa silhouette à l’arrière. Le chauffeur qui descendait et qui parlait à maman (la concierge du lycée). Mon père, c’était « St Pierre » parce qu’il avait toutes les clefs. C’est ainsi que les élèves l’appelaient, non ? Et Maman qui m’a dit : « elle ne veut pas rentrer », l’allée des roses face à la grille a disparu, elle ne veut pas en voir davantage… Elle s’était retirée à Nice. Son mari et ses 3 fils étaient morts à la guerre. Elle a donné son château pour en faire une école, la pelouse à la ville avec la clause « interdiction de construire dessus ». Qu’elle bonne idée ! Que n’a-t-elle pensé à mettre la clause « À respecter, à garder en l’état » pour le château !

    J’y ai vécu de 3 à 20 ans. Dans la chapelle, je faisais mes devoirs et j’y ai aussi appris l’imprimerie. Où est-elle ? Où est la cloche que j’ai tirée à 3 ans, grimpée sur une chaise pour faire sortir les élèves pendant que maman était partie au jardin étendre du linge ? Elle pensait avoir le temps. C’était sans compter sur mon inquiétude. Les élèves sont sortis plus tôt et ont bien ri car ne sachant pas lire, j’imitais mes parents pour lire la carte de liberté et ils sortaient ou non…

    La chambre que j’avais dans les vieux bâtiments n’existe plus, ni les écuries du château ou je cachais une échelle pour grimper dans un châtaigner et lire à l’abri des regards. Savais-tu que Claude Monet était un ami des châtelains ? Il habitait alors rue d’Esclaibes d’hust .

    Je sais que « la maison » et la grille n’existent plus…
    Je ne comprenais pas la châtelaine en 1955. Je trouvais le lycée si joli, je la comprends aujourd’hui : Il ne s’agit pas de rénovation mais de saccage et de destruction.

    J’ai acheté le livre de Mémoires Vives. Je vais voir ce que j’y retrouve…
    J’ai bien connu Mr Weiler et sa famille. C’était une famille exceptionnelle.
    Je ne sais pas si je t’ai croisé. Peut-être es-tu venu à la loge ?
    Amitiés.

    Françoise

  55. 55 Danielle FREYSS
    04 fév 2009

    Danielle (FREYSS, divorcée KARA, veuve JOUENNE) : vous avez pu me connaître sous l’un de ces noms. De 1963 à 1993 j’ai fait beaucoup de choses passionnantes au lycée : musique, théâtre avec Pierre-Bernard MARQUET, mime avec Geneviève PASTRE, cinéclub, video, FSE …
    J’ai fait beaucoup de choses avec Francis JOUENNE – que j’ai perdu en 1995.
    Ce serait une grande joie que ceux pour qui cela évoque des souvenirs me permettent de les partager. Écrivez-moi(dfreyss@free.fr) ou, plus vivant, téléphonez-moi (01 69 96 32 18).
    Je suis déchirée à l’idée qu’il va m’être très difficile de me libérer d’obligations de longue date, le 21 mars.
    J’adresse mon souvenir le plus cordial à ceux que j’ai connus … et à tous les autres, puisque , formés dans ce creuset d’une éducation exceptionnelle, ils doivent être des gens formidables !!!!!!!
    Danielle

  56. 56 Ghislaine Heyer (Balagna-Ranin)
    04 fév 2009

    Que de bons souvenirs !!
    La carte de liberté, que l’on déposait chez la surveillante générale : les heures libres dans le parc c’était génial ! Les cours de travaux manuels :j’ai appris à coudre avec Mmes Rouzier et Monloui durant les années de 6e à 3e, très utile lorsque je suis devenue mère de famille.
    Le voyage à Rome organisé par Mme Millet en avril 1972, ma décurie était encadrée par Melle Françoise Haby (fille de notre professeur de TSE et dont j’ai eu plaisir à lire les messages sur ce site) et Melle Kania professeur d’allemand ; le voyage en URSS en 1976 organisé par Mme Labarthe professeur de Russe. Les activités de l’ASSU (devenue UNSS), en particulier la gymnastique rythmique, devenue GRS :l’équipe cadette entraînée par Mme Slop a été championne de France ASSU en 1973. Beaucoup d’activités annexes qui ont rendu les années passées au lycée bien agréables.
    et la bibliothèque, que je désertais, car je la trouvais beaucoup trop triste, avec tous ses livres couverts de la même couverture en papier style kraft vert, et le silence trop pesant : qui aurait pensait que 25 plus tard je serai bibliothécaire !
    pour tous ces bons souvenirs je me fais un plaisir de venir ce 21 mars 2009, espérant revoir des ancien(ne)s connu(e)s. Je n’ai pas revu le lycée depuis 1976.
    merci pour cette journée de rencontres.
    Ghislaine

  57. 57 Jean-Claude BICH
    01 fév 2009

    A Daniel VILLERET

    Merci pour l’info mais je réalise un recueil sur les élèves du Lycée de Montgeron, uniquement les élèves !
    Petite remarque sur votre allusion « je ne fréquente pas les pipoles ». Des personnes comme JJ ANNAUD, Benoît LANDAIS, Henriette RODARY, Jean RISTAT – tous anciens élèves du lycée – ne me paraissent pas appartenir au monde des pipoles.
    Et, quelques écrivains seraient heureux de venir dédicacer leur livre (entre autre, Pierre AVENAS, Nina SUTTON, Olivier ADAM, etc … – bien sûr, tous anciens élèves du lycée -)
    JC BICH

  58. 58 Evelyne BERARD
    29 jan 2009

    En réponse à ton message du 24. Pardon Paul-Jean, mais je crois qu’on s’est mal compris. Merci pour ton enthousiasme, mais je ne souhaite en aucun cas être à nouveau sur le devant de la scène au lycée. Ce rendez vous du 21 mars est avant tout pour moi une occasion de retrouver des anciens copains de classe ou de théâtre… pour improviser comme bon nous semblera, sans prévoir à l’avance quoi que ce soit. Ma vie est au théâtre ailleurs où je suis parfaitement heureuse.
    Pour moi dans ce domaine, le lycée c’est avant tout… place aux jeunes et à l’option THEATRE. A bientôt . Evelyne.

  59. 59 Daniel V.
    28 jan 2009

    Pour Michel-Paul,

     » On n’est pas ce que l’on dit, on est ce que l’on fait « .

    Mais aussi:

     » On n’est pas ce qu’on devrait être.
    On n’est pas ce qu’on voudrait être.
    On n’est pas ce qu’on deviendra.
    Mais, Dieu merci, on n’est pas ce qu’on a été « .

    Martin Luther King

  60. 60 Claudine Soulié Lasserre
    25 jan 2009

    Je confirme l’information : J.L Bory a été prof au lycée…

  61. 61 Daniel V.
    25 jan 2009

    Pour Jean-Claude BICH: je PEUX me tromper, mais est-ce que l’écrivain Jean-Louis BORY n’pas été prof au Lycée ?

    Cordialement. D. Villeret

  62. 62 Michel-Paul
    24 jan 2009

    Merci Paul-Jean pour toutes tes suggestions d’activités.

    Mais surtout ne m’attribue aucun pouvoir de censeur : faites du théâtre, chantez, dansez, imitez qui vous voulez, écrivez à votre aise, je n’y vois aucun inconvénient, et je ne vois d’ailleurs pas à quel titre je pourrais intervenir, agréer, censurer ! je ne bénis ni n’excommunie… Dieu m’en garde !

    Pour le moment, le seul rôle que je me suis attribué est celui de « facilitateur ». C’est à dire que, partant de l’exposition de Montgeron, et grâce à l’excellente idée que m’a soufflé Claudine Soulié-Lasserre de fixer une date de rencontre le 21 Mars (qui était à la fois une fin de semaine pour ceux qui viennent de plus loin et un symbole de renaissance), j’ai utilisé les outils que je maitrisais et investi un peu de mon temps (peut être même beaucoup), pour passer du stade d’idée au stade de réalisation (on n’est pas ce que l’on dit…).

    Maintenant, comme tu as pu le voir, je ne veux même pas trop modeler la forme de cette journée : juste expliquer les contraintes, donner quelques esquisses, et que chacun l’invente comme il la souhaite… Je suis persuadé que ouvert comme cela ça va être magnifique, que les hasards seront enchanteurs ! Les hasards ? mais cette rencontre qui prend naissance n’est pas un hasard : ce rendez vous a été inscrit en nous il y a bien des années, et ce qui est extraordinaire c’est qu’il a suffit d’une étincelle pour que la lumière se rallume, que le ralliement s’organise ! C’est grandiose : quel hommage à nos tuteurs, quelle victoire pour la laïcité, quelle reconnaissance au monde de l’éducation. (enfin quand il était porté par une ambition politique humaniste).

    Alors si tu veux interviewer, si un groupe de théâtre se constitue, pourquoi pas, mais modestement, pour le moment, je me contente de ce simple objectif rencontre avec le passé, de l’inorganisation de cette journée du 21 Mars.

    Après viendra une autre page.

    Et si dans quelques mois, un nouveau Stop parait, si une kermesse de potaches avec théâtre, poèmes et musiques en sort, c’est que le 21 Mars aura été une belle journée de retrouvailles…

    Avec toutes mes amitiés et voeux de succès pour tous ces projets.

    PS : je pense qu’il va falloir ouvrir une autre rubrique pour ces messages : un rubrique Qu’allons nous faire demain ? Donne moi un nom, il servira de point d’échange et de catalyseur. J’y déplacerai ces messages afin de laisser sur le post « 21 juin », principalement les « j’y serai » ou « j’y serai pas » (avec les petits commentaires qui en font tout le charme).

  63. 63 Martine Tessard
    23 jan 2009

    Jean Jacques Annaud, cinéaste assez délèbre, était élève au lycée de Montgeron

  64. 64 Jean-Claude BICH
    13 jan 2009

    Merci à Paul-Jean P.
    J’avais les noms de Jean Claude BOURRET et de Philippe GARREL Par contre, pas celui de Benoit LANDAIS.
    Merci.
    Très cordialement.
    Jean Claude

  65. 65 Jean-Claude BICH
    08 jan 2009

    Merci à Françoise H. et Jean- Paul T. Pour plus d’information, pourriez-vous me contactez? bich.jeanclaude@free.fr
    Philippe Thomine n’a pas été oublié !!!
    Très cordialement.
    Jean Claude

  66. 66 Françoise HABY
    05 jan 2009

    Bonjour Jean-Claude,
    Un papa quelques temps proviseur du lycéé (1962) et, après un parcours brillant, nommé ministre de l’Education de 1974 à 1978, et qui a donné son nom à une réforme tellement décriée mais tellement audacieuse à l’époque, cela te convient-il ?
    Certes, il ne s’agit pas d’un(e) élève, mais le point de départ est quand même le lycée de Montgeron.
    Tu fais ce que tu veux de cette information, que je peux largement te détailler.
    Françoise

  67. 67 Jean-Claude BICH
    02 jan 2009

    Bonjour,
    Je réalise un recueil sur les élèves du Lycée de Montgeron devenus des « célébrités ».
    J’y enseigne l’EPS depuis septembre 1977 et j’étais élève dans ce lycée de septembre 1969 à juin 1972. J’ai déjà écrit une trentaine de portraits sur des « célébrités », toutes différentes.
    Avez-vous le souvenir d’une personne de votre classe, devenue « célèbre » après le lycée ? Ou, tout simplement, une information sur un élève passé au lycée et devenu « célèbre » par la suite ?
    Merci d’avance.

  68. 68 Marc VAUTION
    31 déc 2008

    Bonjour Michel-Paul,

    M’étant balladé sur le site du lycée, je constate qu’il te manque le n° 2 de ZIG ZAG, dont j’ai retrouvé un exemplaire dans les archives du C.D.I. Sa couverture présente un dessin en hommage à M. BOMIER. Il est évidemment à ta disposition pour que tu le scannes et l’ajoutes à la collection.
    A bientôt de tes nouvelles et tous mes voeux pour 2009 qui s’annonce comme une grande année pour « notre maison » et ceux qui l’ont fréquentée. Amitiés.

  69. 69 admin
    19 déc 2008

    La presse du Lycée est maintenant en ligne.
    Peut être y retrouverez vous des noms connus.

    Bonne visite

  70. 70 Michel-Paul Bourdin
    11 déc 2008

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