L’album du 21 mars, c’est par ici. Vous y étiez vous les avez retrouvés,
vous avez déjeuné avec eux, visité le musée pris, quelques photos, trainé dans le parc…
Vous pouvez témoigner ici de vos impressions sur cette journée, laisser un petit message aux copains, raconter vos rencontres, votre déjeuner, vos discussions, parler des souvenirs évanouis qui vous sont soudains revenus en mémoire.
Et puis si vous avez quelques photos, vous pouvez les envoyer par mail (voir « Contact » dans les signets).

Jean-Paul Pourade compte un peu sur vous pour alimenter son « Stop »

Merci pour votre participation, et merci pour votre collaboration à ce travail de mémoire

Michel-Paul

Les albums en Ligne !

album-photo-21-mars-montgero2

 

Cliquer sur l’album, pour lancer Zoomorama, dans une nouvelle fenêtre.

C’est là que sont rangés tous les albums, et il y en a encore à venir…

utiliser-zoomorama

Cliquez  sur le point d’interrogation : vous avez le mode d’emploi, simple…
et puis cliquez sur le petit carré blanc dans le coin doit de la barre d’outils vous passez alors en plein écran : vous pouvez faire défiler les pages, les photos, cliquer sur une photo pour l’agrandir et télécharger celles qui vous intéressent (clic avec le bouton droit sur la photo)…
Alors envoyez vos photos pour compléter l’album (avec les noms de personnes si possible)
ou bien faites votre propre album (voir sur le site zoomorama) et envoyez moi simplement le lien…
à vos photos !

NDLR : Françoise Ruban a déposé un autre album qui est accessible en lisant le dernier article qu’elle a écrit ou en cliquant ici.

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22 Responses

  1. 1 Johanne de Luca
    26 mar 2017

    Bonjour,
    J’aimerais entrer en contact avec Évelyne Bérard, qui était ma meilleure amie au lycée. C’est son anniversaire aujourd’hui (je n’ai pas oublié) et j’aimerais le lui souhaiter. Elle m’a téléphoné il y a quelques années, mais je ne retrouve plus ses coordonnées. Merci.
    JdeL

  2. 2 Evelyne BERARD
    24 mai 2009

    Il faut du temps pour mettre sous une forme ou une autre les moments magiques du 21 mars 2OO9 autour de notre lycée de Montgeron. Du temps pour prolonger comme nous le souhaitons tous, et comme l’a exprimé Michel Paul dans l’Abécédaire au mot Nostalgie, notre désir de participer de nouveau à son présent et à son futur , car comme l’a rappelé également Daniel Villeret dans l’Atrium le 10 février « quand on ne sait pas d’où l’on vient, on ne sait pas où l’on va ».
    En attendant, certains d’entre nous y travaillent sérieusement, soyez rassurés . Vous pouvez , entre autre, penser au STOP de Jean Paul avant le 15 juin.
    Quant à moi, certains le savent déjà depuis longtemps , et d’autres l’ont découvert récemment, ma passion c’est le théâtre depuis toujours.
    Alors pour vous faire patienter, j’ose vous inviter à venir me rejoindre au moment du festival de l’Ecole de Théâtre et de Comédie Musicale du DAMIER au Mée sur Seine , au Centre Culturel du MAS ( http://WWW.theatredudamier.fr 0164100598). C’est une école qui accueille quelques 250 élèves par an de 5ans à plus de 77ans (79 exactement pour la doyenne !), débutants et amateurs confirmés pour toujours, ou en désir d’un devenir professionnel, et qui présente 11 spectacles à partir du 29 mai. Pour ceux qui ne sont pas à côté et tous ceux qui ont prévu d’autres aventures importantes dans cette période , permettez moi ce qui suit :
    Aujourd’hui, jour de l’Ascension, c’est le tour des ados de 16 à 18ans, pour la répétition générale. Assise dans la grande salle vide où je suis là pour ça, j’ouvre mes sens et mon esprit critique à  » l’Amour Médecin » de Molière. Marie, dans sa robe et son bonnet de servante XVIIème siècle, vient d’entrer en scène : des petits pas légers et assurés, et une voix juste, claire et malicieuse… pour aider sa maitresse à contrecarrer les projets de son imbécile de père. Le ton est donné. Très vite, après elle, la ronde de tous les autres, père, médecins en tous genres, m’emmène avec eux dans un joyeux délire de mots et de mouvements plus proche de la Commédia d’el Arte que de la Comédie Française. Et je ne peux m’empêcher de percevoir les mots et les desseins de Molière, transformés soudain en perles d’optimisme dans un jeu de ricochet éternel sur un océan de misère qu’on nous prédit sans cesse de plus en plus noir. Aucune critique, autre que celle-ci, ne me vient à l’esprit : Eclatez vous comme ça, la semaine prochaine, devant le public.
    Molière, toi qui es encore capable de nous faire sourire et rire avec autant de bonheur, tu es loin d’être mort !
    Evelyne BERARD BRIMEUR

  3. 3 Françoise Ruban (Thabourin)
    06 mai 2009

    L’excitation dans l’attente du 21 mars, l’émotion si grande lors de cette belle journée,nous ont poussés à écrire, écrire encore sur ce site qui me semble une très bonne initiative. Aujourd’hui,nous sommes plus réservés sans aucun doute, mais en ce qui me concerne,ce n’est pas un manque d’intérêt, juste le besoin de « digérer » tout cela, de réfléchir à ce que nous allons faire de toutes ces richesses. Et puis,je suppose qu’il est nécessaire que Michel-Paul, l’instigateur de ce beau projet, « souffle » un peu… J’ai vu ces derniers jours le très bel album d’Edwige qui m’a paru le plus attachant et le plus personnel. De mon côté, j’ai un projet pour l’Abécédaire qui va se concrétiser assez vite je l’espère. Nous avons tous des activités,des contraintes et nous ne sommes plus aussi disponibles, peut-être, que lorsque nous étions de jeunes lycéens à plein temps.
    Quoi qu’il en soit, je suis convaincue que ce site a sa raison d’être, qu’il en sortira de beaux projets et que ce « désert » est habité, malgré une pause apparente.
    Françoise

  4. 4 Edwige Ratin
    27 avr 2009

    il n’est jamais trop tard pour remercier,
    pour dire comme cette journée du 21 Mars était une bonne idée…
    mais parfois on pense que notre petit mot n’a pas d’intérêt, n’apportera rien,
    alors qu’un petit merci
    un petit compliment
    sont toujours un rayon de soleil dans un moral un peu tristounet…
    J’ai quelques photos mais je ne sais tout simplement pas, comment les envoyer, je vais regarder ça de plus près, dès demain…

    Le lycée j’y ai habité 18 ans, 18 années de découverte, de liberté, et d’amitiés que j’ai retrouvées il y a un mois… depuis et bien on s’écrit, on se téléphone…

    Et cette journée j’en fais profiter le plus possible, je contacte d’anciens agents de lycée… ils sont maintenant âgés, mais tout comme nous, leurs regards s’illuminent quand on parle du Lycée de Montgeron… alors haut les coeurs…

    Gardons contact… parlons-nous, battons-nous, et associons nous… mais voilà, je suis en auvergne…

    Je vous embrasse

    Edwige

  5. 5 Roland Hodier
    03 avr 2009

    Simplement, merci à ceux qui ont eu cette idée de rencontre. Cela m’a fait très, très, très plaisir cette reprise de contact.

    Et puis, au travers du blog, je retrouve des échanges qui auraient pu avoir lieu il y a 40 ans.
    Je n’ai pas encore pu tout lire, faute de temps, mais cela viendra.

    Encore, merci à tous et particulièrement à Evelyne de m’avoir fait faire un voyage à Paris pour cette rencontre.

  6. 6 Marie-Christine (Charbonnier) Lambert
    30 mar 2009

    J’étais triste de ne pas pouvoir venir à ce grand évènement, je le suis encore plus en lisant vos coommentaires et en voyant tout ce que j’ai raté. Michel-Paul, donne-nous vite la prochaine date que je puisse venir.
    Big bises
    marie-christine

  7. 7 Danielle et Micheline SABARD
    29 mar 2009

    Nous avons ressenti beaucoup plus d’émotion que prévu à l’occasion de
    cette remontée dans le temps. Il est vrai que ce temps était des plus agréable et puis c’est celui de notre jeunesse. Malgré sa disparition, nous sentons toujours l’odeur de miel de la « salle de liège », beaucoup de personnes s’en souviennent avec un plaisir évident et très présent encore. Certes, les bâtiments ont disparu ou ont été transformés, mais l’âme de notre cher lycée est encore là et nous pensons qu’elle perdurera malgré les agressions de la modernité.
    Que dire de ce regard qui s’accroche au vôtre, de cette voix que l’on reconnaît, et ce visage qui s’éclaire en disant : mais c’est toi !!!les souvenirs se bousculent et la remontée dans le temps commence avec de grands rires et des exclamations en partageant nos photos respectives. Les noms oubliés nous reviennent et avec eux, tous les évènements enfouis mais finalement tellement présents.
    Comment remercier les organisateurs de cette belle journée pleine de
    nostalgie joyeuse que nous sommes prêtes à renouveler en espérant
    rencontrer encore un plus grand nombre de camarades. Notre seul regret
    est de penser que, peut-être, nous n’avons pas reconnu ou été reconnues. Si nous nous retrouvons dans un proche avenir, il serait
    bon de consacrer un petit moment à une « présentation générale » qui nous permettrait de nous identifier, certaines personnes ne portant pas leur « Carte de Liberté » … peut-être leur avait-elle été confisquée pour indiscipline.
    Nous vous disons donc à bientôt, le plus tôt possible, car cette journée fut un véritable régal et une source de jeunesse.
    Encore merci à tous.
    Danielle et Micheline

  8. 8 Françoise LE JEANNIC
    27 mar 2009

    Commentaire :
    Je sais bien qu’elle n’est plus ma maison… je le savais. Et à l’école communale, j’avais appris la fable : « selon que tu seras puissant ou misérable’… » alors j’étais avertie… Je savais qu’avec ses clefs mon père ne pourrait pas la garder ni la réparer ni en construire une autre sur les terres du lycée… et que le père d’Edwige non plus ne le pourrait pas… Pourtant, Edwige me l’a dit samedi : Elle était si jolie ta maison. On aurait dit une maison de poupée. En bas il y avait l’entrée avec deux petits réduits. Le 2e, on l’appelait « le cabanon » : dedans, il y avait tout : Le garde-manger, nos chaussures, nos vêtements, tout. Et puis, à droite, c’était notre salle à manger où il y avait le téléphone, c’était « la loge ». En face se trouvait la petite cuisine avec une tablette pour déjeuner à tour de rôle, le grand évier blanc et les jolis carreaux. C’était aussi notre salle de bain.
    A l’étage, en face de l’escalier une armoire à pharmacie renfermait tous les trésors dont Maman savait se servir car elle savait tout faire Maman. Dans son petit village de montagne, elle avait tout appris. A l’étage, il Y avait 3 chambres. La première à gauche était la nôtre : Il y avait un lit à deux places où l’on dormait à trois : mes deux sœurs et moi. Une chaise pour nos vêtements et un vélux qui nous faisait rêver : des branches de marronniers se balançaient… Deux petites marches et c’était une minuscule pièce mansardée avec une fenêtre à ras du sol et une armoire, un petit bureau à deux places et un poêle.
    En face de l’escalier, il y avait la chambre de mes parents et de mes frères : un à gauche, l’autre au pied du lit. Dans cette chambre, il y avait une porte : c’était la chambre bleue, celle de mon grand-père paternel.
    Entre notre chambre et celle de nos parents une trappe donnait accès à un grenier qui nous était interdit. Une échelle contre le mur permettait d’y aller.
    Avec le téléphone, c’était difficile de travailler. Maman a demandé si l’on pouvait aller travailler à la chapelle et puis si pour le grand-père, on ne pourrait pas avoir une chambre dans les vieux bâtiments. Ce fut ensuite la chambre de mes sœurs, la mienne puis celle de mon frère. De la fenêtre, à droite il y avait le bosquet de lilas, à gauche les douves, en face l’allée bordée d’arbres et l’on apercevait la table de pierre, les petits bancs de pierre et la cascade du cœur.
    C’était le bonheur.
    Je savais pour la maison, pour la cloche, pour les carreaux et même pour ma chambre mais je ne savais pas pour l’allée des tilleuls. Je ne savais pas non plus pour le petit ruisseau près du bassin où on aimait aller avec ‘Guy’. Il construisait des petits bateaux de bois et j’y posais des fleurs de savon qui servaient de matelots. Ils partaient dans le bassin, ressortaient dans des rigoles qui se jetaient dans « la cascade du riz ». Guy les réparait et on recommençait…
    Plus de ruisseaux, plus de cascade du riz et la cascade du cœur demanderait à être rénovée mais je rêve… il sera surement plus facile de continuer à la détruire.
    Je n’ai pas tout vu.
    Samedi, j’ai quitté le lycée à 18 h 30. Une dame attendait pour fermer. Je ne la connaissais pas. C’était Mme Rouche.
    Ce fut une très belle journée. Il a fait beau.
    Edwige avait 15 ans lorsque j’ai quitté le lycée, moi 20. Nous avons été contentes de nous retrouver.

    Je savais pour la maison, pour la cloche, pour les carreaux et même pour ma chambre mais je ne savais pas pour l’allée des tilleuls. Je ne savais pas non plus pour le petit ruisseau près du bassin où on aimait aller avec « Guy ». Il construisait des petits bateaux de bois et j’y posais des fleurs de savon qui servaient de matelots. Ils partaient dans le bassin, ressortaient dans des rigoles qui se jetaient dans « la cascade du riz ». Guy les réparait et on recommençait…
    Plus de ruisseaux, plus de cascade du riz et la cascade du cœur demanderait à être rénovée mais je rêve… il sera surement plus facile de continuer à la détruire.
    Je n’ai pas tout vu.
    Samedi, j’ai quitté le lycée à 18 h 30. Une dame attendait pour fermer. Je ne la connaissais pas. C’était Mme Rouche.
    Ce fut une très belle journée. Il a fait beau.
    Edwige avait 15 ans lorsque j’ai quitté le lycée, moi 20. Nous avons été contentes de nous retrouver.

  9. 9 Françoise LE JEANNIC
    24 mar 2009

    Et ma maison? Quelqu’un le sait-il?

  10. 10 Daniel V.
    24 mar 2009

    Mais… où se trouve maintenant cette grille? Quelqu’un le sait-il?

  11. 11 Danielle FREYSS, divorcée KARA, veuve JOUENNE
    24 mar 2009

    J’oubliais de manifester mon indignation.
    C’est très bien d’ouvrir le musée avec les volutes de la grille d’honneur, mais il faudrait dire le scandale irréparable : bien qu’il n’aie posé aucun problème de sécurité pendant soixante ans, cet admirable chef d’œuvre de ferronnerie a été irrémédiablement massacré !!!!!

  12. 12 Danielle FREYSS, divorcée KARA, veuve JOUENNE
    23 mar 2009

    J’y étais, mais hélas je n’ai pas tout vu, ni tout entendu !
    J’ai regretté de devoir vous quitter beaucoup trop tôt, mais j’ai quand même, avec un immense plaisir, retrouvé un certain nombre de mes anciens élèves, complices de tant de riches moments et j’ai été très émue par les beaux souvenirs qu’ils ont évoqués.

    Beaucoup m’ont parlé du ciné-club qui les a profondément marqués.
    Je crois qu’ils auraient plaisir à retrouver le programme que j’ai reconstitué (sans doute non exhaustif, mais quand même 250 films sur 15 ans) de même qu’une liste des productions les plus importantes du département video, auxquelles certains ont participé, ou sur lesquelles ils ont travaillé en classe.

    J’envoie donc des fichiers sur les activités vidéo et ciné-club qui peuvent prendre place dans le musée. J’ai aussi des photos qu’il faudrait sélectionner. Nous en reparlerons.

    Grand merci pour votre initiative et le travail que vous a donné la préparation de cette belle journée !

  13. 13 Alain CADIOU
    23 mar 2009

    Je n’avais pas remis les pieds dans notre lycée depuis 54 ans (j’y avais passé 4 ans de 1951 à 55). J’étais, je l’avoue, curieux de retrouver à la fin d’une vie des êtres que je n’avais connus qu’au début de celle-ci. Cependant il n’y avait que deux anciens élèves (que j’ai retrouvés avec plaisir) de l’époque durant laquelle j’ai dû souvent désespérer mes professeurs. La mort a dû en faire disparaître quelques uns et les hasards de la vie ont je suppose éloigné les autres en divers lieux de la planète, sans compter ceux qui ont eu peur d’être confrontés à leur passé.

    J’ai quitté un moment la foule pour m’enfoncer dans ce qui reste du parc et tenter de retrouver l’atmosphère de mes souvenirs, la jungle que constituait cette forêt pour les enfants que nous étions, le bassin où je pêchais des épinoches, … Je dois avouer que j’ai été un peu déçu par le terrain plus réduit que je ne pensais, défoncé et enlaidi par de nouveaux bâtiments sans âme. Hélas, les génies des bois avaient fui devant la pelle des bâtisseurs !

    Peut-être avais-je trop attendu de ce contact avec mes rêves de jeunesse et peut-être la nostalgie a-t-elle embelli mensongèrement les réminiscences un peu brumeuses de « château du grand Meaulnes » que j’en gardais.

    Il flottait malgré tout, parmi les participants, m’a-t-il semblé, comme une ferveur touchante, une tentative velléitaire pour ces vieux enfants de raccrocher des bribes d’une jeunesse qu’ils savaient forcément perdue …

    Pourtant, malgré la déception causée par mon échec à retrouver ne serait-ce que le filigrane de ce monde irrémédiablement disparu, j’ai été tout de même fortement ému par cet instant de recueillement si rare dans une vie et je garderai au fond de mon coeur le souvenir ineffable de ce pèlerinage imparfait parmi les ombres du passé.

  14. 14 Françoise Ruban (Thabourin)
    23 mar 2009

    Il y a quelques mois à peine, j’ignorais tout de ce site, je n’avais jamais revu ni le lycée, ni les anciens des années 1954-1961; les hasards de la vie, les études et le temps qui file à vive allure ne me laissaient pas même imaginer une aussi belle journée.Et pas seulement parce que le soleil et le ciel bleu nous ont accompagnés tout au long de cette journée.Ce qui me vient à l’esprit, spontanément: l’émotion. Émotion en retrouvant certains visages, certains sourires; émotion des souvenirs qui remontaient de très loin et que je croyais effacés, enfouis à tout jamais. Et pourtant, je n’ai jamais vraiment cessé d’évoquer avec mes enfants, petits-enfants, amis, collègues ce que j’avais vécu au lycée de Montgeron. Surtout certains professeurs dont j’ai déjà parlé sur ce site.Alors, d’abord merci à eux qui ont grandement contribué à me construire, même si je ne l’ai compris que bien plus tard, lorsque je me suis retrouvée prof à mon tour. Merci à Monsieur Weiler d’avoir consacré sa vie à défendre les projets pédagogiques qui lui tenaient à cœur, malgré les nombreux grincheux, mais grâce à tous les pionniers qui ont cru en cette  » aventure « . Merci.
    Cette journée du 21 mars fut donc émouvante pour moi.Remonter la grande allée doucement, le cœur un peu serré,remplie d’excitation, d’appréhension, de crainte aussi…Qu’allais-je découvrir?
    Tout me revenait peu à peu, mais j’ai cherché un moment les douves du château, les grands arbres…Et je n’ai pas toujours aimé les nouvelles constructions, mais ne soyons pas trop nostalgiques.
    Tout était bien.Malgré ce « tourbillon » dans lequel je me suis sentie entrainée. Tout allait si vite, j’aurais voulu prendre le temps de savourer. Pour une autre fois?
    Merci enfin aux instigateurs et organisateurs de cette journée.
    Quel exploit aussi pour le restaurateur qui a su gérer tout avec le sourire et avec compétence. Bravo!
    J’aimerais dire tant de choses encore…La prochaine fois!
    A très bientôt sur le site et peut-être « en live » lors d’une prochaine rencontre

    Françoise

    Note du Webmaster : en cliquant sur le nom de Françoise Ruban, vous accèderez à l’album des photos qu’elle a déposées pour le site…

  15. 15 Patrick Bénard
    23 mar 2009

    Le choc fut rude!
    Grand merci à Michel-Paul qui n’a, bien entendu, « rien » organisé mais qui a largement contribué à nous (me…) faire verser une larme de nostalgie.
    Des amis… de classe… de « chez Bouboule »… des gens que l’on croisait sans trop y penser, il y a 45 ans, dans le parc et qui, brusquement, deviennent si chers à nos coeurs; nous avons tant de souvenirs heureux en commun!
    Merci à toi aussi, Daniel, de m’avoir discrètement appris que je n’étais pas le seul cancre du lycée…
    J’attends avec impatience une prochaine réunion encore plus mobilisatrice.
    Toute mon amitié à tous,

    Patrick

  16. 16 Daniel V.
    23 mar 2009

    Le seul mot qui me vienne est: MERCI

    Dans le désordre:

    Merci au Soleil, qui donne raison à Michel-Paul,  » J’y étais « . A ceci près que, mieux qu’à Austerlitz, nous n’avions que des amis à retrouver, et ( en tout cas pour moi !… ) aucun ennemi…
    Merci à tous ceux qui ont permis ces jolis moments.
    Merci aux organisateurs, connus, discrets, bénévoles, de l’exposition du Musée Jacquiot, Madame Michèle Juret, conservatrice du Musée et commissaire de l’expo, Madame Ginette Rouche, présidente de la Société des Amis du Musée, et ex-proviseur adjointe, qui permit la balade dans le parc (et même une incursion dans un couloir, mais chut!), Monsieur Marc Vaution, professeur au Lycée, Monsieur Allemandou, Proviseur, Evelyne Bérard, qui réalisa notamment la partie Théâtre ( bisou Evelyne ), et tous les autres bénévoles non nommés (qu’ils me pardonnent) que vous trouverez cités dans le très intéressant Catalogue de l’Exposition, que vous DEVEZ vous procurer, si ce n’est fait…
    Merci à vous tous qui êtes venus, permettant l’enrichissement des interjections françaises, et un magnifique concours de sourires ( tous gagnants ).
    Merci à ce qui a permis de rassembler, réunir, lier, déclencher, stimuler ( non, je ne vous jouerai pas Madame de Sévigné ): ce SITE, et son animateur si dévoué, souriant, discret et indispensable , Michel-Paul Bourdin ( tant pis pour ta modestie, mais c’est pour te remercier aussi d’avoir été mon « mono-chef » en… 1964 ).
    Et qui a réédité le livre de Geneviève Pastre, en vente également au Musée , de même que le livre de Bernard Zimmermann « Le Lycée de Montgeron, 1946-2008 « , etc.
    Merci aux restaurateurs qui avec des styles différents ont accompagné ces trop courts moments de partage.
    Merci aux photographes compulsifs dont nous attendons la quintessence de l’ oeuvre, pour nous-mêmes, et celles et ceux qui n’ont pu venir…
    Merci à mes amis retrouvés, de n’avoir pas changé, sinon en mieux ( je ne plaisante pas ).
    Merci enfin à Monsieur Alfred Weiler. Nous savons tous pourquoi.

    A bientôt ?
    Daniel

  17. 17 Françoise LE JEANNIC (VEZINET)
    23 mar 2009

    Ce n’est pas un gâchis : C’est un meurtre… mais bientôt, personne ne le saura plus… Pourquoi? n’a t-on pas rénové au lieu de détruire, restauré au lieu de piller? Le château sans la chapelle n’a plus d’âme et l’allée des tilleuls… Quel délit ont-ils commis? Pourquoi les a t-on coupés au lieu de les élaguer? Pourquoi ‘notre arbre’ est-il envahi par les ronces? Pourquoi d’autres amoureux ont-ils gravé leurs prénoms sur son tronc alors qu’avec ‘Jean-Claude’ nous ne l’avions pas fait? Pourquoi notre boite aux lettres est-elle recouverte par le lierre? Pourquoi a t-on choisi de construire de vilains bâtiments au lieu d’en construire de jolis? Pourquoi a t-on supprimé les activités qui nous plaisaient tant?
    Pourtant, il parait que les élèves se plaisent dans ce lycée moderne, qu’à l’intérieur les bâtiments sont fonctionnels, que chaque élève a son ordinateur, que l’équipement sportif est performant… Et puis, comme le dit si bien Patrick (mon 3e fils) en cas de tempête, un élève peut se prendre une tuile sur la tête mais pour se prendre une branche d’arbre, il faudrait vraiment qu’il le fasse exprès!
    Pourtant, merci pour cette journée qui m’a permis de retrouver ‘Edwige’ toujours aussi jolie et d’autre amitiés lointaines.
    Je pensais que l’on ne se reconnaitrait pas, qu’il ne restait rien de nous mais je me suis trompée… il reste le regard, le sourire, l’expression du visage et du corps… et la voix. Alors, pourquoi pas à l’année prochaine…?

  18. 18 Claudine Soulié Lasserre
    23 mar 2009

    Des souvenirs plein la tête de présences restaurées, des pensées pour ceux qui n’ont pu être à nos côtés, des espoirs de nouvelles rencontres pour prolonger les liens tissés samedi … Merci à tous les artisans de cette fabuleuse journée, merci à Madame le proviseur d’avoir ouvert les portes de notre jeunesse, merci à ce généreux lycée pour les années de bonheur qu’il nous aura permis de vivre.

  19. 19 Annie GAYMARD
    22 mar 2009

    Encore dans la présence et le climat ensoleillé de cette belle et superbement sympathique journée du 21 mars 2009, je tiens avant tout à remercier vivement et du fond du cœur toutes les personnes qui nous ont permis d’improviser ces instants riches et joyeux.
    Beaucoup à dire pour rendre ce qui nous a été offert. D’autres le feront mieux que moi, je ne suis pas douée pour cela.
    Je souhaite que cet évènement ouvre la voie à d’autres encore, non pas dans un esprit de nostalgie, mais bien au contraire pour témoigner de la dynamique et de la richesse humaine qu’un établissement scolaire tel que le lycée de Montgeron peut impulser dans le temps.
    Merci à toutes et tous et un merci tout particulier à celui qui a généreusement œuvré à la création de ce site et de cette heureuse idée.
    Annie GAYMARD.

  20. 20 Jean-Pierre DECHY
    22 mar 2009

    Hier j’y étais à partir de la visite du lycée (15 h). C’est un vaste chantier qui gâte un peu le paysage, mais j’ai entendu le mot « gâchis » par un ancien entré en 1946. Il déplorait le souvenir de ce petit royaume dont nous étions les rois. Je trouve au contraire que cela témoigne de la vitalité de cette entité et des hommes et femmes qui l’animent. A revoir à la fin des chantiers.
    Je rends hommage à Madame le proviseur qui nous a guidés avec patience, dévouement et compétence.
    Enfin les discussions qui s’échappaient des groupes ne montraient que de bons souvenirs.
    Bravo pour ceux qui ont pris l’initiative de cette journée.
    Jean-Pierre DECHY

  21. 21 Robert OLIVIER
    22 mar 2009

    Impression personnelle de réussite, de cet après midi pour moi bien trop court et un grand merci à l’organisateur de cette journée, que je revivrai bien avec grand plaisir…même si des coups d’oeil furtifs, ou avec plus d’insistance, n’ont pas été identifiés…
    Mon retour au pays de Raboliot, a été plus court que d’habitude, du fait des réflexions que je me suis faites sur la route…pour une fois le téléphone est resté muet! plus prudent!!

    Donc pour moi OK pour un remake, sous quelles formes, à quelle(s) occasion(s)?? A voir.
    Encore merci et toutes mes amitiés au présents, et absents empêchés…

    Robert OLIVIER
    La Malandrie
    Route de Pierrefitte
    18410 BRINON Sur Sauldre
    Tel: 06 85 08 61 52

  22. 22 Jean-Pierre DECHY
    22 mar 2009

    Bonsoir Michel-Paul,

    A part la vision des chantiers qui gachent un peu le paysage je suis très heureux de cette journée passée à Montgeron et à entendre les reflexions dans les groupes tous semblaient ravis de se retrouver. J’ai été sensible à la présence de la famille WEILER. Ils ont assumé leur rôle avec beaucoup de dignité et de chaleur humaine. Bravo!
    Je n’ai pas été inspiré pour faire des photos, mais mon camarade Alain CADIOU, bien équipé, en a fait quelques unes et devrait pouvoir les communiquer.
    En repensant aux chantiers ils prouvent que notre lycée se renouvelle avec une vitalité intacte et cette rénovation portera ses fruits plus tard.
    Merci à toi d’avoir mis sur pied cette journée.
    Si tu as besoin d’un pigiste pour la suite je peux écrire quelques lignes sur un sujet défini ou reprendre le style de ce commentaire.

    Cordialement à toi.

    Jean-Pierre DECHY


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