Lycée Rosa Parks

Votre Lycée s’appellera désormais « Rosa Parks ».

Une fois de plus les protestations de la base ont été ignorées. Cela vous étonne ?

Je ne commenterai pas davantage. Le pouvoir rend sourd : il faut de grandes âme pour y résister, des âmes comme celles que nous connûmes… ou habitent-elles aujourd’hui ? d’évidence ailleurs…

Il y a bien longtemps que le « Lycée de Montgeron » dans sa grandeur humaniste a été détruit par de petits esprits.

Il n’y a plus aujourd’hui que quelques centaines de témoins qui peuvent se réchauffer de sa lumière, qui peuvent dire ce que fut un lycée « habité » par une vision éducative partagée par une équipe enseignante idéaliste encouragée par un proviseur visionnaire.

Vous pouvez encore participer à sa mémoire en témoignant. Inutile ? Allez savoir… un jour peut être un jeune doctorant pourra y trouver matière pour des recherches sur les temps ou « éducation » était encore inscrit dans le dictionnaire…

Mais peut être nous retrouverons nous un prochain jour pour ce baptême. Comment pourrait il être baptisé sans nous ?

Amitiés à tous qui portons dans notre coeur  cette belle histoire du Lycée de Montgeron

Michel-Paul

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21 Responses

  1. 1 Alain Dubreuil
    12 jan 2011

    J’ai entendu le Maire de Montgeron retricoter l’histoire et justifier sa position lors d’un Conseil Municipal: c’était à pleurer (pour les raisons que vous évoquez tous ici).

    Comme il y aussi un Collège Rosa Parks dans notre département, l’Essonne, à Villabé, il aurait été plus GRAND d’accepter « Lycée de Montgeron – Rosa Parks » à titre de compromis, et pour éviter toute confusion. Mais qui se soucie de grandeur ?

    Par ailleurs l’un d’entre nous a-t-il la possibilité d’intervenir auprès du webmestre du site du lycée pour corriger quelques fautes d’orthographe, des trous dans le texte, et une fin abrupte (plus d’encre, de papier, d’idées???) dans la rubrique « un peu d’histoire » ?
    http://www.lyc-rosaparks-montgeron.ac-versailles.fr/spip.php?article261

    Inauguration : j’espère bien en être, avec d’autres anciens, aucune raison de laisser la place vide. Dérisoire ? peut-être, mais poursuite de l’engagement dans l’esprit du Lycée de Montgeron.

    Allez Haut les cœurs, et peut-être à bientôt dans le Park !

  2. 2 Petit Gibus
    25 nov 2010

    … je viens de relire le message « Homère », que Nicole Dubois a déposé le 7.7.2010 dans la rubrique « Il est encore temps ».

    Je lui demande pardon et permission de m’appuyer sur son message :

    son riche témoignage me console du mépris -donc de l’ignorance dénoncée si souvent- manifesté quand à la VERITABLE NATURE de NOTRE lycée, de sa destination originelle, DE SA VOCATION, des méthodes pédagogiques SI enrichissantes, courageuses, visionnaires APPLIQUEES, et non simplement théorisées, de ce façonnage intelligent, oblatif, généreux, de nos jeunes années.

    J’ai pour ma part conscience et regret de n’avoir pas, sur le moment, complètement compris ma chance.

    Je doute qu’il y ait autant de mobilisation en France pour quelque établissement que ce soit, et ce pour UN SIMPLE NOM, en supposant d’ailleurs que nombre d’élèves ne se sont pas prononcés, mais n’en pensent pas moins.

    On le sait, le monde est de plus en plus trivial, utilitariste, oublieux de ses racines, toutes ses racines.

    « Ce serait une erreur de croire que ces choses
    Finiront dans des chants et des apothéoses ».
    Victor Hugo, Les Châtiments.

    Nous avons été… vernis.
    Nous devons nous en souvenir.

    BÂTISSEURS, baptiseurs, question de choix…

    Quelque soit le nom maintenant imposé, mon lycée sera toujours

    « de Montgeron ».

  3. 3 Daniel Villeret
    22 nov 2010

    Merci Michel-Paul pour le très important et très prenant travail de défense de la mémoire du Lycée, dont tu as pris l’initiative et que tu assures depuis si longtemps, par l’ animation de ton blog (et la journée de retrouvailles).

    Je sais combien tu t’y investis, et aussi tout ce que cela implique pour toi.

    Chacun(e) à notre façon nous avons réagi, et nous imaginons bien également celles et ceux qui nous ont lus mais, pour quelque raison que ce soit, ne se sont pas manifestés.

    Tout cela ne sera pas vain.

    - Nous-mêmes nous sommes réchauffés aux souvenirs. J’ai, pour ma part, retrouvé des ami(e)s… et en ai gagné de nouvelles et nouveaux !
    Je t’en suis reconnaissant.

    - Ceux qui nous ont lus ont pu s’associer par la pensée.

    - Ceux qui nous suivent auront peut-être une petite curiosité pour tout ce qui est évoqué ici.

    Je fais miennes les idées de ce Forum.

    La Galerie de Portraits serait une riche initiative.
    Pour l’espace muséal, personnellement je donnerai (modestement) un ouvrage écrit par un de mes profs.

    Bien que nul en informatique, et occupé comme tout un chacun, j’aurai plaisir, afin de poursuivre quelque chose dans cette voie, à apporter mon petit caillou (chou, genou, joujou…).

    Un vieil… hibou.

  4. 4 Michel-Paul
    21 nov 2010

    Merci à Marie-Joelle Salaun Knerr, Jean-Claude Bonnin, Claudine Soulié Lasserre, Daniel Villeret, Georgie Durosoir, Jean-Jacques Dejardin,Jean-Claude Bich,Françoise Ruban,Jean-Michel Trefault, Alain Cadiou, Elisabeth Muller, Marc Faivre, et bien sur Petit Gibus dont les commentaires synthétisent pleinement nos pensées :
    - la révolte devant le mépris des politiques,
    - la certitude que ce changement de nom ne changerait rien au passé,
    - la crainte que sa grande histoire ne soit occultée par ce choix,
    - l’espoir d’une renaissance d’une certaine pensée éducative,
    - et surtout, c’était l’origine de ce petit blog, l’immense reconnaissance que portent tant d’élèves à tous ces humanistes qui ont illuminée leur jeunesse et les ont aidés à se construire en tant qu’adultes libres et responsables…

    Je pense que c’est cette injustice vis à vis de leur mémoire qui nous a le plus marqués, choqués, irrités. Sans doute également parce que nous ne pouvons imaginer, accepter, que cette superbe aventure reste sans suite, que nos petits enfants, leurs enfants n’aient aucune chance de vivre les bonheurs que nous avons vécus…

    Je laisserai à Georgie Durosoir la conclusion de ce message :
    « Je ne sais pas ce qu’est notre lycée en cette décennie désastreuse, mais ce qui compte, c’est ce qui subsiste de son passé, et ce que ce nouveau nom abrite encore – j’espère – de respect mutuel, d’invention pédagogique, de courage civique et d’engagement envers les jeunes qui sont l’avenir de tous. »

    Maintenant il nous appartient, en tant que derniers témoins de cette épopée, d’en préserver la mémoire. Comment ?

    En ouvrant ce blog j’avais l’ambition de construire un « Petit Musée » à partir des documents et témoignages que nous apporterion.
    Je n’ai pas eu le temps de tous les exploiter, et je crains que les prochains mois ne soient encore pire.
    Alors je m’en remets à vous pour rechercher des « axes de mémoires », c’est à dire les actions que nous pourrions entreprendre pour sauvegarder cette mémoire, de façon peut être plus organisée que l’amateurisme d’un seul volontaire…
    Il fut question d’un espace muséal au lycée… comment nous y associer?
    devrions nous créer une association pour cela ?
    qui pourrait s’y investir et comment ?

    Mes regrets de n’avoir pas trouver le temps d’animer davantage ce site depuis quelques mois, mais le temps s’enfuyait sous mes pas…

    Alors si nous somme plusieurs peut être que la flamme pourra être rallumée.

    Je pensais également, et cela me parait plus facile, commencer par ouvrir une « galerie de portraits » dans laquelle viendrait s’installer dans un cadre,la photos et la bibliographie (si nous la trouvons) accompagnés de témoignages (les nôtres) sur tous ces enseignants qui ont participé à l’aventure et que nous avons tant appréciés.

    Tout est encore à faire, merci par avance pour vos suggestions et votre participation.

    Michel-Paul

  5. 5 Petit Gibus
    17 nov 2010

    J’ai moi aussi fait quelques recherches.

    Subodorant quelque Ecole de Pensée derrière ça, j’ai fait la résolution théosophique de Rosa Parks:

    9+6+1+1+7+1+9+2+1 = 37, soit 3+7 = 10.

    Cela correspond à « Redémarrage »…

    Cela est-il synonyme d’effort vers un enseignement plus intelligent… ou « Du passé faisons table rase » ?…

    (Bon, on peut sourire, non?)

  6. 6 Marc FAIVRE
    16 nov 2010

    Le lycée de Montgeron était porteur, plus que tout autre,des idéaux éducatifs du CNR.
    Il a vu s’élaborer les novations et les ambitions issues du plan Langevin Wallon.

    Il est vrai qu’il est dans l’air du temps de mettre à bas ces éléments fondateurs de la République sociale née de la seconde guerre mondiale.

    Mais que ce soit là l’oeuvre d’une majorité régionale de « gauche » qui plus est mue par un dérisoire tropisme boboïsant pour les élans convenus et le multi-culturalisme bien pensant si décrié par Elisabeth Badinter… c’est déprimant !

    Mon père a enseigné quelques décennies dans ce Lycée, y côtoyant des intellectuels et enseignants exceptionnels qui ont participé à densifier et enrichir son existence comme sa pensée.
    Certains furent mes professeurs et m’ont extraordinairement marqué.
    Je les en remercie avec affection et respect et leur demeurerai fidèle ainsi qu’à l’esprit de « leur » Lycée de Montgeron.

  7. 7 Elisabeth MULLER
    14 nov 2010

    Ce nom… C’est du grand n’importe quoi… Et même si ce changement ne modifie en rien l’histoire (cf le commentaire de Michel Paul), il occulte cette histoire. Qui ira désormais chercher le nom d’Alfred Weiler sur internet et découvrir ce qu’il a en son temps apporté à l’enseignement. Et qui saura à quel point, nous les très anciens élèves, avons pu nous épanouir au sein de ce Lycée Pilote?
    Elisabeth

  8. 8 Alain Cadiou
    14 nov 2010

    J’ai fait un peu de recherche pour voir qui était cette Rosa Parks dont le nom, dans ma grande inculture, m’était inconnu. Je me demandais naïvement ce qu’elle avait bien pu faire pour notre lycée.
    J’ai constaté qu’elle est connue pour avoir refusé de donner sa place à un passager blanc dans un bus à Montgomery, le premier décembre 1955. J’étais alors en terminale à Montgeron et j’avoue que ce haut fait d’armes, même si je l’approuve entièrement dans le contexte de l’époque, m’avait échappé.
    Beaucoup se demandent alors pourquoi avoir donné son nom à notre lycée alors qu’elle n’a rien à voir avec l’enseignement et encore moins avec la France.
    Je pense que cette dénomination est le résultat de la religion du « politiquement correct » dont nos élus sont des fidèles et des prosélytes.

  9. 9 Jean-Michel TREFAULT
    25 oct 2010

    Rosa rosa rosam
    Rosae rosae rosa
    Rosae rosae rosas
    Rosarum rosis rosis
    C’est bien le tango des zéro….
    ……risquent de s’apercevoir …
    Qu’il y a des épines…….
    Mais bon Rosa parc du lycée ça l’fait non ?
    Désolé
    A+

  10. 10 françoise ruban
    22 oct 2010

    Bof… je me suis déjà exprimée à ce sujet, j’ai signé la pétition… mais bon, Rosa Parks c’est un joli nom, tu sais !! Disons, que l’on aurait pu trouver pire… ou mieux! Pour moi, un seul nom s’imposait : Alfred Weiler ! Le reste , je m’en moque…Ce qui me choque dans cette histoire c’est que les politiques n’aient pas respecté les désirs des principaux intéressés, les profs et les élèves d’aujourd’hui ! Une fois de plus les régles de la démocratie sont bafouées. Mais Rosa Parks, pourquoi pas ?
    Quoi qu’il en soit, je souhaite très sincèrement au Lycée Rosa Parks de Montgeron de poursuivre son chemin en n’oubliant pas les idéaux qui ont amené Alfred Weiler à lui donner une âme… des directives pédagogiques novatrices et humanistes.

  11. 11 Jean-Claude BICH
    18 oct 2010

    De toute façon le lycée de Montgeron restera le LYCEE de MONTGERON pendant encore beaucoup d’années !

  12. 12 JEAN-JACQUES DEJARDIN
    17 oct 2010

    Quand les politiques décident c’est toujours au mépris de la masse qui les a portés au pouvoir. On le voit aujourd’hui encore avec le sujet d’actualité brûlant qui occupe l’ensemble de la population. Le nom de baptême donné par le Conseil Régional était inéluctable. Mais dans la mémoire des anciens et des actuels du lycée qu’est-ce que ce nom changera ? Pas grand chose. Il faudra des générations avant que le nouveau nom s’enracine dans les mémoires. Pour exemple qui se souvient aujourd’hui sportifs ou non sportifs, milieu auquel j’appartiens depuis 40 ans, du nom de baptême qu’avait affecté la municipalité à la fin des années 70 au COSEC près du CES G.POMPIDOU en présence d’un certain F. MITTERAND ? Posez la question au sujet de Marie-Thérèse EYQEM ? Vous en collerez plus d’un. Pour ma part le lycée de Montgeron restera celui que j’ai connu. Salutations à tous.

  13. 13 Michel-Paul
    17 oct 2010

    Le plus amusant dans l’histoire (enfin amusant)… :
    il existe déjà un lycée Rosa Parks à Neuville sur Saone …!

    Le nom « Rosa Parks » n’est donc pas discriminant, il faudra spécifier « Lycée Rosa Parks de Montgeron » (ou « Lycée Rosa Parks de Neuville sur Saone « )

    « Lycée Rosa Parks de Montgeron » c’est effectivement beaucoup mieux que l’appellation « Lycée de Montgeron – Rosa Parks » qui avait été suggéré aux sourds du conseil régional…!

    – On ne dit pas « sourds », on dit « mal entendants »…
    – Oui… et même « mal comprenants » plutôt que…

  14. 14 Daniel Villeret
    15 oct 2010

    Ah non, Michel-Paul, je n’assisterai pas à une médiocre cérémonie cornaquée par des « cerveaux » sans mémoire, décalcomaniaques de la pensée universalisante, impuissants à inventer, innover, risquer, ou simplement êtres fidèles.
    On peut se demander pourquoi CE choix, et aussi pourquoi il a été IMPOSE, et PAR QUI.
    On devrait aussi se demander POURQUOI on a évité TOUS les noms qui étaient infiniment plus LEGITIMES.
    J’ai ma petite idée sur tout ça…
    Je ne participerai pas à cette mascarade.
    D’ailleurs…. je ne serai pas invité.
    - Bien sûr: Poil au nez.

  15. 15 michel-Paul
    15 oct 2010

    Bien sur on va tourner la page,

    Ce changement de nom ne change rien à l’histoire et il y a des choses bien plus importantes dans le monde actuel.
    Lesquelles ?
    Par exemple le mépris du « peuple » par les classes dirigeantes dont on voit ici un nouvel exemple. La démocratie dont nous fûmes nourris ou est elle ?

    Que lycéens de Rosa Parks trouvent dans leur lycée tous les éléments pour se construire, pour devenir des hommes (ef femmes bien sur) libres, qu’ils puissent réaliser, plus tard, combien l’éducation qu’ils y ont reçue a été un élément structurant de leur vie, qu’ils sachent sachent transmettre à leurs enfants tous les espoirs humains qu’ils y auront trouvés.

    Très sincèrement que ce changement de nom soit aussi une renaissance de esprit humaniste et généreux qui habitait ces lieux, un nouveau départ pour ce lycée.

    C’était le sens profond des messages de tous ceux qui étaient attachés à son histoire.

    La pages est tournée.

    la démocratie aussi

  16. 16 Petit Gibus
    14 oct 2010

    J’ai une curiosité malsaine:

    j’aimerais bien connaître les noms et qualités (?), et surtout les VERITABLES motivations de celles et ceux qui ont voté pour ce choix inepte, au mépris de tout.

    (Il est vrai que dorénavant les « démocraties » font revoter les Peuples qui se croyaient libres de leurs choix premiers et légitimes, afin que progresse le Plan).

    Cessons d’être candides.
    La Liberté est un vain mot, l’Egalité une utopie, la Fraternité un alibi.

    – Si j’aurais su, j’aurais pas venu.

  17. 17 Durosoir Georgie
    14 oct 2010

    Certes, la méthode autoritaire,le déni de la concertation, sont répugnants et trop dans le goût du jour de ceux dont dépend notre démocatie en ce moment. Certes, d’autres noms auraient pu être proposés, aussi magnifiques que l’abbé Grégoire,Victor Schoelcher ou Lamartine.
    Quitte à choisir une femme, pourquoi pas Louise Michel, Olympe de Gouges,Théroigne de Méricourt ou d’autres combattantes pour la liberté?
    Cependant, je me refuse à ne voir que démagogie dans le choix du nom de Rosa Parks et, puisqu’il est désormis choisi malgré notre mobilisation, au moins, n’en ayez pas honte, car il est lui aussi symbole de courage et d’engagement!
    Je ne sais pas ce qu’est notre lycée en cette décennie désastreuse, mais ce qui compte, c’est ce qui subsiste de son passé, et ce que ce nouveau nom abrite encore – j’espère – de respect mutuel, d’invention pédagogique, de courage civique et d’engagement envers les jeunes qui sont l’avenir de tous.

  18. 18 Daniel Villeret
    14 oct 2010

    Les coulissiers de la pensée, qui en petits conclaves frissonnent de leur « pouvoir » d’orienter (!!!) les choses, ont donc remporté cette Grrrrande Victoire, celle de la sujétion à de froids et énigmatiques diktats, sur les élans légitimes et généreux du coeur.
    Les vilains -au sens de manants- empêcheurs de décider entre soi, qui croyaient naïvement qu’ils ne comptaient pas pour des prunes, réaliseront peut-être, ENFIN, l’inversion orwellienne du monde qui vient, qui est là.
    Pour ceux, amis qui me ressemblez, qui croient encore que leur personnage a quelque chose à dire parmi les ombres de la Caverne, je citerai un dicton brésilien qui m’est cher:

    « Plus tard, plus triste ».

    Réveillez-vous.

  19. 19 Claudine Soulié Lasserre
    14 oct 2010

    Triste, infiniment … Quel mépris … Du souci à se faire quant à nos dirigeants mais ce n’est pas un scoop !!!

  20. 20 Jean-Claude BONNIN
    14 oct 2010

    Intéressant. Je serais curieux de connaître le démagogue qui a proposé le nom de la muse de Martin Luther King.
    Si on veut œuvrer pour combattre les relents de l’esclavagisme et par la même occasion rester franco-français, pourquoi ne pas avoir proposé abbé Henri Grégoire qui était à l’origine de l’abolition de l’esclavage en 1794 (c’est vrai qu’il s’agit d’un curé) ou Victor Schoelcher qui a proposé qu’on arrête cela en 1848 ou bien Lamartine qui a déposé la loi. Lycée Lamartine ! N’importe quoi ! On ne sait plus qui c’est…

  21. 21 Marie-Joelle SALAUN KNERR
    14 oct 2010

    Mon Dieu que les hommes peuvent-être stupides quand ils s’y mettent! Quelle lamentable non-connaissance de l’Histoire…et dire que nous élisons des hommes et des femmes aussi irresponsables, c’est à désespérer des élus de ce pays. Cordialement.
    Marie-Joëlle


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